Par Bernard PLOUVIER
Nos gouvernants passent leur temps à voyager hors du territoire métropolitain. Étant donnée leur très faible influence sur les événements et la situation économique ou générale du pays, cela ne revêt guère d’importance. Après-tout si Macron a fait n’importe quoi dans la gestion ruineuse et liberticide de la corona-folie, il n’a fait que suivre le mouvement général imposé par les maîtres supranationaux.
Qu’il fasse du tourisme, importe peu ; son absence est plutôt une bonne chose pour la nation. Toutefois, lorsqu’on apprend qu’il voyage pour enseigner aux autres peuples comment régler leurs différends, pour leur prêcher les vertus supposées de la légalité républicaine, là on rigole un peu, voire énormément.
Car l’on n’a pas vraiment l’impression que l’ordre et le calme règnent en France, que ce soit en métropole ou dans les DOM-TOM, ni même que règne « l’égalité », puisque la démocratie y est foulée aux pieds.
Les immigrés ont un comportement de plus en plus agressif, violent, opposé en tous points à la loi et à la simple civilité. Il y a danger pour les Blancs en France métropolitaine, c’est-à-dire dans un territoire situé en Europe ! Cela, Macron et ses complices s’en moquent ouvertement… et avec raison, puisqu’élection après élection et grâce aux media vautrés devant le veau d’or, ils cartonnent !
La démocratie, ce n’est pas seulement mettre un bulletin de vote dans une urne, c’est voir appliqués les deux principes fondamentaux accouplés : celui de l’égalité des droits et celui de la méritocratie. Qu’un rejeton d’immigré moyennement doué accède à des études que l’on refuse à des rejetons d’autochtones aux meilleurs résultats scolaires, du fait du non-principe de la « Discrimination positive », cela c’est du non-Droit. Ni la couleur de peau, ni la religion, ni l’origine ethnique ne doivent jouer en démocratie. Le principe fondamental de la démocratie reste : que le meilleur gagne, dans le respect de la loi qui doit être la même pour tous les citoyens.
Nos merveilleux « chefs » se proposent de régler guerres et guérillas un peu partout. Après le brillant succès de ses prédécesseurs en Libye et en Syrie, et leurs bons offices pour régler l’imbroglio israélo-palestinien inextricable du fait de la haine ethnique et religieuse, ils se plaisent à rêver de mettre la Russie à genoux, pour les beaux yeux d’une Chimène judéo-ukrainienne !
Et cela quand notre pygmée-Macron a dû déguerpir d’Afrique noire, où les deux colosses, le Chinois et le Yankee, se proposent de lutter contre l’islam ravageur et l’expression des haines tribales – entendre : exploiter à bas coût les richesses naturelles que les autochtones s’avèrent incapables de faire fructifier. La prétention franchouillarde ne fait plus rire que de pitié !
En fait, les Français de métropole seraient plutôt devenus de bons connaisseurs en émeutes raciales et en attentats islamiques. Même si le nombre d’émeutes raciales est loin d’égaler le record des Antilles ou de Mayotte, et l’on attend le réveil des Kanaks. Mais, depuis quelques années, on a du nouveau dans notre « Démocrassouille » : les émeutes gauchistes-trotskistes perpétrées un peu partout dans les grandes villes et, désormais, la French-touch (très-colorée) devient l’attaque sauvage de touristes étrangers blancs. Comme c’est curieux : nos voyous colorés ne s’en prennent qu’aux Blancs ou aux Asiatiques ! Et il ne faut surtout pas évoquer à ce propos l’effet d’un « racisme », sous peine d’être accusé de « complotisme ».
Nos bons journaleux seraient-ils sourds et aveugles ou simplement aveuglés par les hauts salaires des media télévisés ou radiophoniques ? Pour eux, la question du non-droit n’existe tout simplement pas : seuls les colorés sont des « victimes » et seuls des Blancs sont les voyous, trafiquants de drogue, égorgeurs, violeurs, racketteurs. Le Vivre ensemble, pour un journaleux aux ordres de Macron and co., c’est pleurer sur l’immigrant clandestin ou sur une « planète en péril », et hurler contre les « fachos », sans trop se souvenir que le fascisme est mort depuis, au choix, 1943 ou 1945, tandis que la barbarie communiste est bien vivante en Chine, en Corée du Nord et, à voir la bave coulant de la bouche de certains politiciens français, on n’est pas trop assurés que cette immondice ne s’impose pas un jour en France.
Nos brillants policiers et magistrats sont censés faire régner l’ordre… pas forcément le droit et moins encore l’équité. Après-tout, ils ne se pressent pas de faire respecter la loi sur le port d’insignes distinctifs religieux à l’école – hors école confessionnelle – ou au travail, ni celle réprimant les actes criminels, lorsqu’ils sont commis par des privilégiés. Car elle est bien loin la Nuit du 4 au 5 août 1789 : la Macronie regorge de privilégiés intouchables. Au fait, cela ne définirait-il pas une société mafieuse ?
Les policiers, si forts en gueule, en coups de matraque et en lancers de gaz lacrymogènes, lorsqu’ils s’attaquent à d’honnêtes citoyens exerçant pacifiquement – tant qu’ils ne sont pas infiltrés de canailles gaucho-trotskistes – leur droit de protestation, se font curieusement minuscules et timides comme des pucelles, lorsqu’ils sont confrontés à des meutes d’immigrés violents ou à de jeunes gauchistes munis de barres de fer et de cocktails Molotov.
Pourtant, c’est devant le voyou dangereux que l’on reconnaît l’agent des forces de l’ordre et non devant d’honorables pères et mères de famille qui ne font que hurler leur amour de la Patrie et de la loi. Nos policiers semblent se comporter comme nos brillants politiciens : ils sont désemparés face aux véritables émeutes. C’est avec de tels politiciens, de telles « forces de l’ordre » que l’on veut donner des leçons de démocratie, alors que la France est éclatée en féodalités mafieuses et que règne le Non-Droit en des milliers de cités.
Sans même tenir compte des villes et cités classées, au ministère d’l’Intérieur et des Cultes, en 4e catégorie, celle de la petite délinquance quotidienne, ce qui correspond à la quasi-totalité des villes de France grandes, moyennes et petites, il faut relever quelques faits ahurissants.
Il existe des quartiers de villes considérés comme des zones de non-droit permanent : viols en tournantes, trafics divers menés sans discrétion, rackets, rixes, morts multiples par balle ou coup de poignard, dans plus de 70 villes, dont les pires sont Paris, Amiens, Angers, Avignon, Brest, Clermont-Ferrand, Dreux, Grenoble, Le Havre, Lille, Lyon et sa conurbation, Marseille, Montpellier, Mulhouse, Nantes, Nîmes, Perpignan, Rennes, Roubaix (et Hem), Rouen, Strasbourg, Toulouse. Ce sont les villes de Catégorie 1, dont les agences de voyage devraient éviter la visite par des touristes blancs ou asiatiques.
En catégorie 2, près de 200 villes ont un ou plusieurs quartiers « très difficiles », où la violence de jour est quotidienne, avec au moins une mort violente par semaine. En catégorie 3, ce sont 200 autres villes où l’on connaît des violences quotidiennes nocturnes.
Dans chaque ville comptabilisée, plusieurs quartiers (ou cités, au sens moderne du terme) sont des zones à haut risque. Au total, on arrive aux alentours de 2 200 quartiers de France métropolitaine où un Blanc n’a absolument pas intérêt à mettre les pieds !
Tout ceci est permanent et lié à « l’enrichissement de la France » par l’immigration extra-européenne. Si l’on y ajoute l’affligeant spectacle des violences urbaines des « étudiants » et des casseurs blancs gaucho-voyous et trotskistes, l’on se dit que nos brillantissimes politiciens, du style Macron and Co ont, en effet, des leçons à donner !
Notre nation s’est relevée lentement du Ve au XIe siècles après les ravages de barbares de tous poils ; elle s’est relevée au XVe siècle après trois cents ans de guerres quasi-incessantes – les « grands historiens » nous font hurler de rire avec leur Guerre de Cent Ans, alors que tout a commencé avec cette catin d’Aliénor d’Aquitaine, figure de proue du féminisme enragé des XX–XXIe siècles ! Plus près de nous, nos ancêtres immédiats ont relevé les ruines et modernisé l’industrie en moins de dix années après la Grande Guerre et ont fait de même après la Seconde. Mais, la nation était alors homogène, composée d’Européens.
Au Finale, dans l’opéra qui n’a plus rien de comique qu’est devenue la vie en France, où les prestations du Président et des ministres – dont certain(e)s sont des personnes tellement tarées que nul honnête homme ne devrait leur serrer la main – ridiculisent une Nation qui fut grande et civilisatrice autrefois, a-t-on encore les moyens de guérir la lèpre sociale ?
Cela devient de moins en moins évident, à mesure que l’ordre disparaît, à mesure que le non-droit s’étend à l’ensemble du pays, où plus personne n’assume la charge fondamentale de l’État : faire régner l’ordre à l’intérieur des frontières et assurer la protection vis-à-vis de l’étranger.
Face à la subversion islamique et gauchiste, face à l’incompétence et à la corruption matérielle et morale des élus, la Nation actuelle, molle, aveulie n’a manifestement ni la volonté ni la force de s’insurger. Espérons que dans deux ou trois siècles la part non métissée de la Nation se révoltera : la Reconquista espagnole sur la berbérie islamique fut une très longue affaire. Il était vain d’espérer qu’en France molle et avachie, une Reconquête pouvait se faire de nos jours. C’est bien dommage, mais c’est notre triste réalité !