par Dionysos ANDRONIS
- A propos d’Alfred Rosenberg, Le Congrès de la Grande Conjuration de Bâle (1897), éditions du Lore, France, 2009, 76 pp.

La première précision qu’il faudra faire, c’est qu’Alfred Rosenberg (1893-1946), le ministre des territoires occupés du 3e Reich, était chrétien, pas juif. Le nom « Rosenberg » est typiquement juif mais pas pour le cas de notre auteur.

L’auteur chrétien commence donc son ouvrage en nous disant que la princesse russe Katherine Radziwill (1858-1941) était parmi les soupçonnés d’avoir rédigé les Protocoles des Sages de Sion. Mais elle n’avait pas séjourné à Paris entre 1904-1905 et que « peu avant la guerre des boers, elle émigra au Transvaal où elle hanta le voisinage de Cecil Rhodes. Là-bas elle se rendit coupable d’une falsification de chèques à son nom et fut condamnée à une peine de prison » (op.cit., page 15).
Les Protocoles des Sages de Sion sont pour Rosenberg une réponse à l’ouvrage L’état juif de Theodor Herzl qui est paru en 1897 : « Les Protocoles ont pris naissance chez un groupe de juifs qui voulurent remettre sur pied une domination juive du monde et de l’argent au su des groupes bancaires juifs, des monopoles de la presse et en accord avec les caractéristiques naturelles découlant de 3000 ans d’histoire juive » (op.cit., page 51).

« En page 94 du tome 2, Herzl exprime enfin clairement son but : « Nous pouvons peut-être demander Chypre à l’Angleterre ou même avoir en vue l’Afrique du Sud » (op.cit., page 45).
Puisque la Turquie a été définitivement rejetée de l’Union Européenne, nous pouvons souligner la phrase ci-dessus de Herzl « et avoir en vue l’Afrique du Sud« . Oui, Monsieur le fondateur du sionisme Herzl, aujourd’hui l’Afrique du Sud vous appartient à 100% puisque là-bas les Blancs sont massacrés par les noirs avec la complicité de l’ONU.

Nous allons aussi faire référence à un intellectuel sud-africain, le pasteur Paul Hammond (né en 1960) : « Le 6 avril, lorsque le génocide a été déclenché, la plupart des correspondants africains étaient partis en Afrique du Sud pour les élections » (in Holocauste au Rwanda, éditions Frontline Fellowship, Cape Town, 1996, page 46).

C’était pour les élections de cette année 1994 où Nelson Mandela devint cette année là le premier président noir dans l’histoire du pays.