les entretiens de metainfos : revelations explosives sur le 11 septembre

avec Laurent GUYENOT

– Que représente pour vous le 11 septembre 2001 ?

Pour moi personnellement, comme pour beaucoup de gens, la découverte de la vraie nature des événements du 11-Septembre a été ma « pilule rouge », c’est-à-dire la révélation que les grands media sont devenus le cœur d’un pouvoir mondial fondé sur le mensonge et la manipulation mentale de masse. 

Que l’on croie ou non à la version officielle, on est bien forcé de constater que le 11-Septembre nous a fait passer d’un monde à un autre. On peut dire que les attaques du 11 septembre 2001 marquent le début du 21e siècle. Et si le 20e siècle a été, selon Yuri Slezkine, le « siècle juif » — tout en étant par ailleurs le siècle le plus meurtrier de l’histoire —, alors le 21e siècle est bien parti pour être le « siècle israélien » : les attentats du 11-Septembre, mis sur le compte de l’islamisme et du monde arabe en général, ont justifié un renforcement de l’influence d’Israël sur la politique américaine, et conduit à la destruction des principaux ennemis d’Israël au Proche-Orient.

Or, les événements du 11-Septembre sont une gigantesque manipulation. Le monde entier vit donc sous l’emprise d’un mensonge. Il n’y a pas aujourd’hui un seul chef d’Etat au monde qui ne soit complice de ce mensonge, puisque, depuis Mahmoud Ahmadinejad, Muhammar Kadhafi et Hugo Chavez, aucun n’a osé remettre en question publiquement la version officielle. Il est intéressant de noter qu’aujourd’hui, c’est le nouveau gouvernement d’Afghanistan qui montre l’exemple en déclarant publiquement que la culpabilité d’Oussama Ben Laden, qui a servi de prétexte à l’invasion de leur pays, n’a pas été démontrée. Il n’est pas anodin que les Taliban aient choisi le vingtième anniversaire du 11-Septembre pour inaugurer leur gouvernement. On peut espérer qu’un jour la Chine, l’Iran et la Russie vont les aider à faire la lumière sur cette affaire. Soyons optimiste.

Ben Laden mort, et après ? | Le Point
  • La thèse des “avions fantômes” et de l’effondrement contrôlé des deux tours est au cœur des théories alternatives sur le 11/09. Comment une supercherie de ce niveau est-elle possible techniquement selon vous ?

Les détails techniques concernant le détournement des avions et leurs impacts, d’une part, et l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center, d’autre part, font l’objet de débats parfois virulents entre les chercheurs de la vérité. De nombreux aspects restent mystérieux. Mais il existe un consensus sur quelques preuves essentielles que la narration officielle est rigoureusement impossible. Sur les quatre avions prétendument détournés par les terroristes d’Al-Qaïda, deux au moins peuvent être qualifiés d’avions fantômes. Il s’agit tout d’abord du Boeing 757 du vol United Airlines 93 qui, nous dit-on, s’écrasa à Shanksville en Pennsylvanie après une lutte entre les passagers et les pirates de l’air. Aucune trace d’avion n’est visible sur les images du lieu d’impact. Nous avons inclus dans le film le témoignage du maire de Shanksville qui est formel : « il n’y avait pas d’avion. » Le Boeing 757 du vol American Airlines 77 qui s’est prétendument écrasé sur le Pentagone est tout aussi introuvable. Aucune image convaincante n’a été rendue publique. C’est sur ce point que s’était concentré Thierry Meyssan dans son livre L’Effroyable imposture dès mars 2002.

Amazon.fr - 11 Septembre 2001 : L'effroyable imposture - Meyssan, Thierry -  Livres

La contestation de la thèse officielle repose aussi sur l’effondrement des tours jumelles. Quiconque sait qu’elles ont une structure massive d’acier, et non de carton, ne peut croire que des avions, en aluminium léger, aient pu y pénétrer entièrement et causer des dégâts structurels entraînant leur effondrement. D’ailleurs, parler d’effondrement est trompeur : les tours ont littéralement explosé étage par étage, pulvérisant la totalité du béton et projetant latéralement à plusieurs centaines de mètres des morceaux de poutres d’acier de plusieurs tonnes. Un détail qui démontre de manière flagrante le mensonge officiel est l’effondrement d’une troisième tour, la Tour 7, aussi appelée le Salomon Brothers Building, dans l’après-midi du 11 septembre. Le grand public est tenu dans l’ignorance de cette tour de 47 étages pour une raison bien simple : les images de son effondrement montrent qu’il ne peut s’agir que d’une démolition contrôlée, un procédé qui nécessite des mois de préparation. Un fait particulièrement troublant est que l’effondrement de la Tour 7 a été annoncé par la BBC, par erreur, 20 minutes avant qu’il ait lieu.

11-Septembre : les huit principales théories du complot décortiquées
  • L’hypothèse de votre documentaire sur des complots emboîtés est vraiment fascinante. Pouvez-vous nous la présenter ?

Il existe aujourd’hui deux thèses dissidentes principales sur le 11-Septembre : la thèse la plus visible accuse l’administration américaine d’avoir monté une opération sous fausse bannière pour justifier des guerres impérialistes. Une autre thèse, moins connue du public occidental, incrimine un réseau sioniste agissant depuis les États-Unis dans le but d’entraîner les Américains dans des guerres contre les ennemis d’Israël. Ces deux thèses ne sont évidemment pas exclusives l’une de l’autre. Mais pour comprendre comment s’articulent ces deux niveaux, il faut tenir compte du fait que la politique extérieure des États-Unis est parasitée par Israël, qui contrôle l’État profond mais aussi les institutions démocratiques américaines, par son pouvoir de corruption et d’intimidation.

Il faut aussi comprendre que, pour réussir une opération de l’envergure du 11-Septembre, les réseaux israéliens ont besoin de s’assurer que l’administration américaine soit suffisamment impliquée pour être dans l’obligation de protéger le mensonge coûte que coûte. Il fallait donc pousser les dirigeants américains dans une opération illégale et inavouable, mais contrôler l’opération et surtout son exploitation politique afin qu’elle serve l’objectif d’Israël, qui est la destruction de ses ennemis historiques, à commencer par l’Irak. 

En quelques mots, l’hypothèse que j’argumente dans le film est la suivante. En juillet 2001, pour en finir avec le régime Taliban, le Conseil de Sécurité national décide d’organiser un attentat sous fausse bannière mis sur le compte d’Oussama Ben Laden, alors réfugié en Afghanistan, afin de justifier le renversement du régime taliban. Il est donc prévu de créer, sous la couverture des exercices du NORAD, l’illusion du crash d’un avion de ligne détourné sur le Pentagone. Un missile lancé contre le Pentagone donnera le change et la nouvelle de l’attentat fournira un prétexte amplement suffisant pour une chasse à l’homme en Afghanistan, dont le but réel sera la prise de contrôle de l’Afghanistan par les États-Unis, un objectif promu par les stratèges du Grand Jeu comme Zbigniew Brzezinski.

Les agents israéliens haut placés au Pentagone, notamment Paul Wolfowitz et Richard Perle, encouragent ce projet, mais préparent simultanément son détournement au profit du projet impérial sioniste. Pour déclencher une guerre de civilisation au Proche-Orient, un avion écrasé contre le Pentagone et quelques dizaines de morts ne suffisent pas : il faut quelque chose de beaucoup plus spectaculaire et traumatique, comme la destruction des Tours jumelles en direct à la télévision, et plusieurs milliers de morts annoncées.

Selon cette hypothèse, l’attaque contre le Pentagone à Washington et l’attaque contre les Tours jumelles de New York sont deux événements distincts. Le crash simulé d’un avion au Pentagone est une opération des services américains, tandis que l’attaque simulée contre les Tours jumelles est entièrement orchestrée par des éléments sionistes.

Cela peut expliquer, entre autres, le témoignage étrange de Norman Mineta, secrétaire aux Transports, qui se trouvait avec Dick Cheney dans le bunker sous-terrain de la Maison-Blanche après les attaques contre les tours, et qui vit un homme demander avec insistance à Cheney si « l’ordre était maintenu » : on peut supposer qu’il a été question, à ce stade, d’annuler l’attaque sur le Pentagone. Mais Cheney, qui est un pion des crypto-sionistes néoconservateurs, décida de maintenir l’opération du Pentagone.

20 ans du 11-Septembre: les images marquantes de cette journée où  l'Amérique s'est arrêtée
  • La pratique des opérations sous faux-drapeaux (false fag) est une tradition des services secrets israéliens. Quels sont les précédents pouvant éclairer le 11 septembre ?

En effet, Israël a une grande expertise dans les attaques terroristes sous fausse bannière. Cette tradition remonte avant même la création d’Israël, avec l’attentat de l’Hôtel King David à Jérusalem, le 22 juillet 1946, lorsque des terroristes de l’Irgoun habillés en arabes avaient fait exploser le quartier général des autorités britanniques, causant la mort de 91 personnes, dont 15 juifs.

Un stratagème similaire fut employé en Égypte en 1954, avec l’Opération Susannah, dont le but était de compromettre le retrait des Britanniques du Canal de Suez en fomentant plusieurs attentats meurtriers mis sur le compte des Frères musulmans. La plus célèbre des attaques israéliennes sous fausse bannière eut lieu durant la Guerre des Six Jours en 1967, lorsque trois bombardiers et trois torpilleurs israéliens attaquèrent le USS Liberty, un navire non armé de la NSA, avec l’intention manifeste de ne laisser aucun survivant et de mettre ce crime sur le compte de l’Égypte, afin d’entraîner les États-Unis dans la guerre. L’Égypte étant alors alliée à l’URSS, une nouvelle guerre mondiale aurait peut-être été déclenchée si le navire n’était pas miraculeusement resté à flot, et Israël forcé de s’excuser en prétendant s’être trompé de cible. Tout comme pour le 11-Septembre, cette opération s’est faite sous la protection d’une administration américaine sous contrôle israélien, avec à sa tête Lyndon Johnson, qui avait accédé au pouvoir par l’assassinat de Kennedy.

Bien entendu, les opérations sous fausse bannière ne sont connues comme telles que lorsqu’elles échouent. Il est donc impossible de connaître le nombre d’opérations de ce type montées par Israël. Mais la réputation d’Israël en la matière est connue au sein des services de renseignement du monde entier. Il se trouve que la veille du 11 septembre 2001, un rapport de la U.S. Army School for Advanced Military Studies sonnait l’alerte au sujet de la capacité du Mossad de « cibler les forces américaines et de faire passer cela pour un acte palestinien ou arabe ». Des patriotes américains avaient sans doute eu vent du projet israélien et cherchaient à l’empêcher.

  • Pouvez-vous revenir sur deux épisodes très curieux de la journée du 11 septembre : les messages d’alerte de la messagerie Odigo et l’arrestation des « Israéliens dansants » ?

 Odigo est un système de messagerie instantanée basé en Israël, qui possédait une fonction permettant de sélectionner les destinataires par nationalité. Or des messages d’alerte furent diffusés par Odigo à des Israéliens deux heures avant le crash des avions dans les Tours jumelles. Le premier avion percuta la Tour Nord à l’heure exacte annoncée, « presque à la minute près », comme l’admit Alex Diamandis, vice-président d’Odigo. 

[…]

Propos recueillis par Monika Berchvok en intégralité dans le Rivarol n°3494 du 27/10/2021

Rappelons ici que le meilleur site de réinformation sur le 11 septembre est :

http://www.reopen911.info/

Le meilleur documentaire sur le11 septembre :