LA SEMAINE D’OBSERVATION DE L’INFO

Par Patrice LEMAITRE

Dimanche 17 octobre 2021

Séquence repentir et mise à plat ventre annuelle ce jour avec la commémoration du « massacre » du 17 octobre 1961 à Paris. Chaque année une manifestation est ainsi organisée en mémoire des « 200 à 300 » algériens « massacrés » et jetés à la Seine par la police parisienne du préfet Maurice Papon. Or, comme le rappelle Bernard Lugan, l’un des meilleurs connaisseurs français de l’Afrique : « Ce fut à de prétendues victimes que le Président de la République rendit hommage car il n’y eut pas de massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961. Nous sommes en effet en présence d’un mythe imposé comme dogme par un lobby particulièrement actif totalement immergé dans les cercles de pouvoir et d’opinion. Ce mythe repose sur la manipulation de dates et de chiffres, notamment sur l’addition de morts antérieurs et postérieurs à la manifestation du 17 octobre 1961. » Les chiffres officiels parlent de trois morts, dont les noms sont parfaitement connus. Personne jusqu’ici n’a été capable d’ajouter des noms à la liste sur les « 200 à 300 » assassinés. En outre, s’il existe des photos de la manifestation, il n’en existe aucune des centaines de cadavres flottant sur la Seine selon la légende, ce qui paraît quand même incroyable. Où sont passés ces 200 à 300 cadavres jetés dans la Seine ? Ils ne se sont pas « dissous » dans le fleuve et n’ont été aperçus sur aucun rivage de la Seine, de Paris jusqu’à Rouen ! Mensonge d’État encore une fois, permettant à Macron de fustiger son pays et de se coucher devant l’Algérie. Plusieurs personnes ont d’ailleurs manifesté leur mécontentement en perturbant la cérémonie de commémoration à Paris du 60e anniversaire des événements survenus le 17 octobre 1961. Certains ont scandé des slogans hostiles aux autorités algériennes, en particulier au consul général d’Algérie à Paris, Saïd Moussi, alors qu’il effectuait la « Fatiha » (la première sourate du coran) aux défunts. « Vous n’avez pas honte ? », « Le massacre continue en Algérie », ont-ils ainsi lancé.

Lundi 18 octobre 2021

Anti-passe Italie - Octobre 2021

Si en France, les moutons continuent à brandir fièrement leur passe pour aller au restaurant, à leur salle de sport, ou prendre l’avion, ce n’est pas le cas partout. Chez nos voisins italiens, dans le plus grand silence des médias français aux ordres, l’obligation du passe dans le secteur professionnel a déclenché des manifestations dans toutes les grandes villes. Depuis le 15 octobre, la paisible ville de Trieste, située à la frontière avec la Slovénie, se retrouve à l’épicentre des contestations liées au passe sous faux drapeau sanitaire. Le port a vu une grande manifestation se tenir dès le jour de l’entrée en vigueur de l’obligation de présenter son passe vert pour aller travailler, une première en Europe.

Mardi 19 octobre 2021

Danger Squid Game

Quel est donc ce nouveau jeu qui fait fureur dans les cours d’école au point d’inquiéter les enseignants ? Série produite par la plateforme américaine Netflix, « Squid game » pour une fois, n’est pas issue de cerveaux étatsuniens, mais coréens. Quand le petit peuple, désargenté et paumé n’en peut plus, il s’accroche à toutes les solutions pour tenter de survivre, y compris aux plus sordides. D’autant que ceux qui les ont laissés dans cette misère entretenue sans complexe par la société de consommation, les ont depuis longtemps oubliés à leur sort après s’en être servis. Pour tenter de gagner un peu d’argent, les personnes à bout de ressources s’adonnent àun jeu très simple… en apparence, qui ressemble à la terrible sentence de la série de films « Saw ». Mais la différence affecte surtout le perdant : il reçoit… une balle dans la tête. Roulette coréenne implacable mais addictive puisque ces paumés vont retourner jouer, passant outre l’horreur de la sentence. Au-delà du premier degré de l’histoire, le scénario nous fait comprendre que nous sommes en fait tous quelque part des acteurs d’un « Squid game » dans une société où il faut marcher ou crever. Regardons par exemple la vaccination. Celui qui la refuse est exclu, refoulé, alors que celui qui l’accepte gagne le droit de survivre, et il survit, acceptant pour cela une nouvelle injection qui lui permettra de participer à la vie, de sortir, de voyager… et ceci, d’injection en injection… jusqu’à ce qu’il perde, renonce à se faire piquer, et dans ce cas la sentence sera implacable : la mort sociale ! La série est parait-il, interdite aux moins de seize ans. Mais comme d’habitude, avec le renoncement total des parents, dans les cours de récréation, le « Squid game » a remplacé les billes et les élastiques. On se tire dessus, mais pour de faux.
Et dans la vraie vie, par quoi remplace t‑on les balles ?

Mercredi 20 octobre 2021

Parmi les milliers de faits divers, il en est un qui a été relaté par certains des médias nationaux, il s’agit de l’agression d’une députée LREM et de son compagnon hier soir dans le VIIe arrondissement parisien. L’élue de l’Hérault Coralie Dubost, ex-compagne d’Olivier Véran, sortait d’un restaurant où elle venait de dîner avec son compagnon, lorsque le couple a été attaqué par un groupe de trois ou quatre individus. La députée a été projetée à terre, tandis qu’on lui volait son sac à main dans lequel se trouvaient 2000 euros en espèces. Son compagnon de son côté se voyait délester de sa montre Rolex évaluée à 12 000 €, et de son portefeuille. Par delà un fait divers hélas trop commun puisque l’État n’est plus, depuis longtemps, en capacité de protéger ses citoyens, on peut se demander pourquoi une députée se promène avec une telle somme en liquide dans son sac à main, ce qui ne risque pas d’arriver au commun des mortels… Son compagnon possesseur d’une Rolex en bon admirateur de Julien Dray et Séguéla, finit de marquer l’empreinte « bling-bling » de l’élue LREM. Le parti est d’ailleurs d’une discrétion de violette à l’égard de cet événement. On aurait bien aimé entendre l’avis de Mme Schiappa sur cette agression d’une femme dans la rue.

Coralie Dubosc - Olivier Véran

[Copie d’écran France 3 Régions Occitanie] Coralie Dubost avec son ex-compagnon Olivier Véran, lors de la visite de celui-ci et du 1er ministre le 11 août 2020 à la Grande-Motte. • © MaxPPP/Michael ESDOURRUBAILH

Une de ses connaissances lui a d’ailleurs adressé un petit mot gentil :

« Chère Coralie, je suis bien triste d’apprendre que tu as expérimenté l’insécurité qui, jusqu’alors, n’était pour toi qu’un sentiment. Ton compagnon et toi avez été agressés à Paris, la nuit. Lui, un homme de la finance, s’est pris une branlée qui lui a coûté sa Rolex à 12 000 euros. Mais toi, Coralie ? J’apprends que tu t’es fait dérober deux mille euros en liquide. Mais c’est quoi, ça ? À l’heure où le pognon est devenu massivement virtuel, où tout se paye en carte de crédit, où l’État lui-même songe à faire disparaître les billets qu’il n’imprime plus depuis longtemps, on peut légitimement se demander comment ces deux mille euros avaient atterri dans ton sac. D’où venaient-ils donc, et à quoi pouvaient-ils bien servir ? À payer son mois à Rachida, cette petite marocaine qui repasse à merveille et fait si bien les tajines ? À solder le compte de Monsieur Prescovic, cet admirable menuisier à la retraite qui a enfin terminé la bibliothèque en chêne du salon ? À rémunérer Joao, l’habile plombier qui a changé l’ancien dressing en cabinet de douche ? On se perd en conjectures, tu sais. En tant que jolie député.e LREM de l’Hérault, en tant qu’ex-meuf d’Olivier Véran, notre très populaire ministre de la Santé, en tant que donneuse de leçon de transparence démocratique sur les plateaux télé, tu devrais être plus attentive au contrôle des flux financiers qui transitent par ta besace, le soir, à Paris, quand tu sors du resto. Juste histoire de ne pas attirer le regard des soupçonneux et des médisants. »

J.-M. M. (Texte trouvé sur internet)

Jeudi 21 octobre 2021

Assemblée nationale vide - Texte de loi Vivilance - Octobre 2021

Les députés ont donc voté cette nuit la possibilité de prolonger le passe dit « sanitaire » jusqu’en 2022. Encore une fois, ce sont les « complotistes » qui avaient raison : ce passe est fait pour s’installer dans la durée ! À noter que le texte a été voté par 135 voix contre 125, soit un écart de 10 petites voix. L’écart se resserre entre pro et anti passe à l’Assemblée, et dans le même temps une motion de 130 élus de Haute Savoie a été déposée pour l’abolition de celui-ci. Cette mascarade purement liberticide fait donc de moins en moins l’unanimité. 260 votants sur les 577 députés élus. On comprend mieux pourquoi l’abstention gagne du terrain. Où étaient les 317 autres ? Ne sont-ils pas payés (et grassement) pour faire leur job ? Le passe sera donc toujours en vigueur lors des élections présidentielles et législatives, les non vaccinés (qui incluront bientôt tous ceux qui refuseront une troisième dose !) n’auront donc ainsi pas accès aux bureaux de vote. Ne resteront que les macronistes… CQFD.

Vendredi 22 octobre 2021

« Général Colin L. Powell, ancien secrétaire d’État américain et président des chefs d’état-major interarmées, est décédé ce matin à cause de complications du Covid 19. Il a été complètement vacciné. Nous tenons à remercier le personnel médical du Walter Reed National Medical Center pour leur traitement bienveillant. Nous avons perdu un mari, un père, un grand-père remarquable et aimant et un grand américain. »

Colin Powell

Hélas pour lui : Colin Powell restera dans l’Histoire le porteur du mensonge d’État fomenté dans le but de déclencher une guerre contre un pays souverain. C’est par ce communiqué que la famille de l’ancien secrétaire d’État de Georges Bush a annoncé son décès. L’homme qui avait menti au monde entier en brandissant un petite fiole d’Anthrax à la tribune de l’ONU en 2003, succombe lui aussi à un mensonge d’État, après une vaccination que l’on nous présente comme « évitant les complications dues au Covid ».

Samedi 23 octobre 2021

Cancel culture

« Certains, dans les pays occidentaux, sont sûrs que l’effacement agressif de pages entières de leur propre histoire, la discrimination inversée de la majorité dans l’intérêt des minorités ou la demande d’abandonner la compréhension habituelle de ce que sont des choses aussi fondamentales que la mère, le père, la famille ou même les différences entre les genres, constituent, selon eux, les jalons du mouvement vers un renouveau social. » C’est par ces mots, d’une lucidité exemplaire, que Vladimir Poutine décrit la « déconstruction » de notre civilisation occidentale, que ne veulent pas enrayer nos dirigeants, se conformant aux ordres de l’Union Européenne et au-dessus… Le président russe se comporte en parfait contre-exemple de ce qu’il faudrait faire pour épargner « l’effacement agressif de pages entières de (notre) propre histoire ». Il se défend cependant d’être un donneur de leçons, et exhorte les pays occidentaux de faire de même et de ne pas trop s’en prendre à la maison Russie.