NOTRE DAME DES DOUTES

Voici ce qu’un pompier parisiena déclaré : 

« Il est impossible, sans accélérateur de feu, de produire un tel feu en moins de deux heures! Le bois ne dégage pas de fumée jaune, les produits pétrochimiques, oui. »

« Si nous voyons la couleur jaune, elle est produite par la combustion de substances chimiques telles que le soufre, l’acide chlorhydrique et l’acide nitrique ».

À propos, de quelle couleur était la fumée émise par les flammes qui ont dévasté Notre-Dame? Il suffit d’observer les premières images, d’entendre les premiers témoins tous s’étonnent de la couleur jaune émise or aucun journaliste français ne s’en est étonné. Personne n’ose même esquisser la question.

L’ingénieur chef de Notre-Dame sur la thèse de l’accident : « Je suis stupéfait ! Du vieux chêne qui a 800 ans ça ne brûle pas comme ça, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler » (Vidéo)

L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame sur la thèse de l’accident : «En 2010, on a remis à plat toutes les installations électriques, il n’y a pas de possibilité de court-circuit…»

L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame sur la thèse de l’accident :

« Du vieux chêne, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler… Il y a 2 hommes en permanence jour et nuit pour aller voir dès qu’il y a une alerte et appeler les pompiers … »

« Je suis stupéfait »

Par ailleurs,

L’entreprise qui restaurait Notre-Dame a livré sa version : « il n’y avait pas de point chaud ni aucun travail de soudure »

Aucun travail sur la charpente n’avait commencé au moment où l’incendie s’est déclaré à la cathédrale Notre-Dame, endommageant grièvement l’édifice, a déclaré dans un commentaire à l’AFP un représentant de l’entreprise en charge non seulement de l’échafaudage, mais aussi de la rénovation de la charpente en bois de la flèche et de sa couverture.

L’entreprise Le Bras Frères, qui montait l’échafaudage autour de la flèche de Notre-Dame de Paris a «exclu» mercredi «toute responsabilité» dans l’incendie qui a ravagé l’édifice.

«Ils excluent de fait toute responsabilité», cite l’AFP un porte-parole de l’entreprise, assurant qu’après «le premier choc», elle envisageait la situation avec «sérénité» puisque «les procédures ont été respectées».

Selon lui, les douze salariés présents sur le site lundi, jour de l’incendie, ont été entendus par la police judiciaire à Paris et «collaborent parfaitement» avec les enquêteurs.

«Ils ont confirmé qu’il n’y avait pas de point chaud sur l’échafaudage» et n’avoir effectué «aucun travail de soudure», a-t-il poursuivi.

«Quand on quitte un chantier on doit couper toute l’électricité, le disjoncteur du chantier, fermer la porte à clef et remettre les clefs à la sacristie de la cathédrale, ce qui a été fait et dûment noté dans les cahiers», a assuré ce porte-parole.

«Le dernier a quitté les lieux à 17h50 (soit une heure avant le déclenchement de l’incendie, NDLR) et le premier à 17h20», descendant «par les deux ascenseurs qui desservaient l’échafaudage», a-t-il détaillé.

Toujours selon lui, une «mission d’expertise» est en cours «pour voir comment démonter l’échafaudage (…) fragilisé par l’incendie», l’idée étant de «mettre en place un autre échafaudage pour démonter le premier en toute sécurité».

L’échafaudage, a-t-il précisé, était en cours de construction, devant «être livré à la mi-juillet» et «aucun travail sur la charpente n’avait encore commencé».

L’entreprise Le Bras Frères, installée à Jarny (Meurthe-et-Moselle), avait remporté un appel d’offres portant sur trois lots, l’échafaudage mais aussi la rénovation de la charpente en bois de la flèche et sa couverture extérieure. Ces deux dernières opérations n’avaient pas encore été engagées, rappelle l’agence.