par Bernard PLOUVIER
S’il n’existe plus de témoin vivant de l’année 1917 – où s’est imposée par la violence et de façon absolument antidémocratique la barbarie soviétique -, il existe encore quantité de contemporains de la chiennerie de 1968, où une infime minorité de toqué(e)s – souvent fils et filles à papa archi-friqués – a détruit la société occidentale au profit des minorités ethniques, politiques, pseudo-philosophiques et sexuelles.

Il est plus que probable que l’An 2022 restera un grand cru dans l’histoire de la déliquescence des nations de l’hémisphère Nord.
En France, Emmanuel Macron fut réélu dans un fauteuil après un quinquennat aussi nul que celui de François Hollande, et pourtant le François avait mis très haut la barre de l’obéissance passive aux ukases des véritables maîtres du jeu… ceux qui sont combattus par les patrons de la Russie et de la Chine, eux-mêmes pas toujours bien inspirés !
Et Macron, l’homme dont ni les polices ni la justice ne protègent efficacement la Nation française – l’actualité le démontre quotidiennement -, accélère la politique immigrationniste, laissant filtrer cette réalité bien connue de tous les observateurs, mais qui restait jusqu’ici dans le domaine du non-dit publiquement : les patrons petits, moyens et grands ont besoin des immigrés sans diplôme ni qualification pour les petits emplois, dont ne veulent pas nos six millions de chômeurs (dont 45% de chômeurs pleins)… la génération des petits princes et des jolies princesses ne veut pas se salir les mains et préfère les allocations-chômage à la notion d’utilité sociale.
C’est une politique idiote à moyen terme, puisqu’il est évident qu’une fois régularisée leur situation, les immigrés d’Afrique ou d’ailleurs rejoueront le scénario du refuge dans les lois sociales ou vivront mieux (et dangereusement, ce qui n’est pas pour déplaire aux mentalités viriles) grâce aux trafics (drogues, armes, introduction de clandestins) et au proxénétisme. Macron, c’est le progrès dans la déchéance de notre Nation ! Du moins, il ne semble pas qu’on puisse reprocher la corruption à notre Grand Timonier de Bateau Ivre.
Car ailleurs, 2022, c’est le grand retour des pourris. Au Brésil, le « socialiste » Luiz Inacio Lula da Silva, ex-Président archi-corrompu de la Ripoublique (2003-2011), jugé, condamné, emprisonné pour ses innombrables malversations, vient d’être réélu ! En Israël, le sioniste haineusement anti-Palestinien Benyamin Netanyahou (ex-Premier ministre de 1996-1999, puis de 2009 à 2021), inculpé pour un nombre ahurissant d’actes de corruption, mais non jugé du fait des mœurs juridiques locales, vient d’être réélu chef d’une coalition opposée à la paix avec les mahométans – eux-mêmes stupidement très excités, on le reconnaît volontiers : un arrangement amiable est toujours moins coûteux qu’une guerre.

En Grande-Bretagne, si le maire de Londres est depuis un lustre un Pakistanais mahométan, le nouveau Premier ministre est un milliardaire Hindou et sa ministresse de l’Intérieur – chargée de lutter contre l’immigration clandestine… exultez braves gens ! – est une Indo-Mauricienne parfaitement honorable, si ce n’est qu’elle mélange allégrement ses courriels privés et publics. Cette brave Elisabeth a bien fait de mourir cet été, cela lui a évité une agonie dans la honte… à moins que, comme trop souvent dans le monde des vieillards, elle n’ait éprouvé une joie maligne à observer la déchéance de sa Nation.
2022, c’est bien sûr la pire année depuis 1962 – et le crétinisme des simplets Khrouchtchev et Castro (le Fidel) qui avait mis la planète bien près d’une guerre atomique. L’ex-colistier du pyromane crypto-islamiste Obama, le sieur Joe Biden – et son entourage « démoniaque » -, fait tout ce qu’il peut pour transformer en gigantesque conflit européen une affaire de frontières ethniques aux confins de la Russie et de l’Ukraine ; bien plus, il attise le jeu belliciste entre les deux Corées et entre les deux Chines, que Donald Trump s’était évertué à calmer.
Quelle année !