DEGRELLE ET LE REX

par Dionysos ANDRONIS

  • A propos de Robert BRASILLACH, Léon Degrelle et l’avenir de Rex, éditions Notre Combat, 1936, Lyon, 55 pages.

Cette brochure nous a été vendue au « Cercle Franco-Hispanique » parisien, une organisation politique proche de Jeune Nation. Comme vous pouvez le deviner, cette brochure n’a pas du tout perdu sa valeur depuis sa première édition et c’est pour cette raison qu’elle est encore commercialisée par nos camarades. Nous allons commencer d’abord avec une phrase d’une autre brochure écrite par le grand Degrelle : « soyons nettement, franchement anti-catholiques, partout et toujours » (in Histoire de la guerre scolaire de Léon Degrelle, éditions Rex, Louvain, Belgique, page 32) [ illustré notons-le au passage par le dessinateur belge Hergé; NdT].  Donc, Degrelle n’était pas si chrétien que cela comme les médias modernes veulent le présenter.

Le Grand Poète français Robert Brasillach était un fervent admirateur du combat politique mené par Degrelle et il débute notre brochure en question en nous disant que quand il était étudiant Degrelle avait organisé une publication avec un article « La barbe ensanglantée » écrit par Alexandre Dumas, petit-fils mais le rédacteur fut changé en « Madame Machin ». « Cette signature apocryphe donna soudain aux étudiants l’idée de soutenir l’attention un peu défaillante des lecteurs par un coup de maître » (op.cit., page 9). Ce plagiat charismatique serait sévèrement puni par la loi aujourd’hui mais en 1936 « la farce est un apostolat » (op.cit., page 8). L’avocat de Dumas petit-fils était à l’époque le maître Henry Torrès, un « communiste millionnaire, prolétaire en limousine, avocat de toutes les causes sanglantes » (op.cit., page 10). « Me Torrès lui-même averti, il envoya une lettre sympathique aux farceurs » (op. cit., page 10).

Robert Brasillach

Mais cet incident donna au parti Rex créé par Degrelle plus tard une nouvelle touche d’humour qui a aidé les simples gens à « prendre fait et cause contre l’agitateur communiste » (op.cit., page 10).

Ainssi, « le jeune chef de Rex a commencé par animer les jeunes étudiants par la gaieté » (ibid).

Léon Degrelle

« Mussolini est un grand poète…. et Hitler invente les nuits de Walpurgis » (op.cit., page 45). Walpurgis est une fête païenne des pays germaniques et nordiques célébrant la fin de l’hiver » (op.cit., note des éditeurs sur la même page 45).

Nous avons trouvé intéressant ce parallélisme de fin. 

A noter que l’ouvrage de Brasillach est consultable sur https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k934702k.texteImage