Par Bernard PLOUVIER
Au XIVe siècle, un docte inutile – l’équivalent scolastique de nos politiciens parasites sociaux – avait été proclamé le « Docteur subtil » : il s’agissait du théologien John Duns, dit « Scot » (l’Écossais). Sa subtilité n’avait d’importance que pour les passionnés de la masturbation mentale appelée métaphysique. Il était devenu célèbre en proclamant que chacun était libre d’avoir sa conception de l’Univers, à condition de ne pas contredire le dogme chrétien sur la création divine.
En résumé et de façon très schématique, ce grand penseur disait que chacun était libre de penser ce qu’il voulait, mais qu’il devait obligatoirement ne rien dire contre le dogme. Ce qui n’est pas sans rappeler, de nos jours, la position de chaque goy d’Occident face au harcèlement médiatique quotidien sur la Shoah : on peut en penser ce qu’on veut à condition de proclamer sur tous les tons le dogme des « 6 millions de morts », au besoin en violant l’arithmétique la plus rudimentaire !
Grand Président Macron – l’homme qui joue au péquenot en se baladant à Londres avec sa Brigitte en chaussures de sport, soit l’expression la plus achevée de la grande classe, en quelque sorte : The New French Touch – va, dans sa Grande Bonté, nous consulter, nous autres membres du Peuple Souverain. Quelle chance nous avons : notre Génial Guide suprême va demander notre avis par voie de referendum – ou comme il dit dans son jargon de grand prétentieux : par voie de « consultation citoyenne ».
Chouette, se dit-on dans les chaumières françaises, le Grand Homme va nous demander enfin notre avis sur l’immigration-invasion extra-européenne ! Depuis le Décret scandaleux de 1976 (des immondes Giscard et Chirac), ce ne serait pas du luxe, puisqu’à l’évidence le Grand remplacement de population est en état de marche accélérée… c’est même la seule chose qui soit « en marche » dans la France macronisée !
On s’est réjoui trop tôt.
Notre Génial Timonier offre un referendum… sur l’Euthanasie ou comment faire crever prématurément des vieux et des malades graves. Alors qu’on tue déjà 250 000 fœtus autochtones par an – Merci qui ?… Merci la Simone panthéonisée et ne faut-il pas oublier que ni les Juives ni les immigrées n’avortent de façon statistiquement significative –, on va donc nous demander notre avis sur un problème simple de liberté fondamentale de l’être humain, compliqué par l’introduction d’un facteur économique majeur : le massacre de masse des cancéreux, déments, psychotiques, sidéens arrivés au stade ultime de leur maladie et des sujets en état de vie végétative qui va mettre beaucoup de soignants et de « paramédicaux » au chômage !
On ne discute pas l’intérêt de consulter, sur un important sujet de société, le seul vrai maître de l’État : la Nation souveraine – car Môssieur Macron n’est que le locataire toujours éjectable du fauteuil présidentiel. Mais il y a plus urgent que de statuer sur la mort volontaire : il faut, et d’urgence, demander l’avis du peuple souverain sur l’invasion des Barbares, sur l’immigration parfaitement inutile d’Africains et de Moyen-Orientaux dans un pays qui compte depuis le premier règne d’Emmanuel Macron 6 millions de chômeurs, toutes catégories confondues.
On comprend que pour mieux caser les centaines de milliers d’immigrés africains et moyen-orientaux inutilement importés chaque année, notre distingué réélu veuille faire de la place et diminuer la facture sociale des soins palliatifs. Mais n’y-a-t-il pas une chose plus urgente à régler que d’autoriser ou non la tuerie prématurée de Français ?
Grâce à Grand Président – quelque peu abusif, voire délirant – nous allons non pas décider ou non de fermer la porte aux parasites avides de jouissances matérielles – en partie analphabètes et violents : l’actualité le démontre de façon quotidienne -, mais savoir si l’on autorise la mort de malades graves autochtones !
Décidément, il n’y a guère d’autre solution avec Macron : ou on quitte ce pays dont les électeurs sont tellement stupides qu’ils ont remis une nouvelle fois le pays à ce gestionnaire catastrophique et paranoïaque ou on se révolte, et cette fois-ci non plus pour des histoires de sous, mais pour empêcher notre civilisation de disparaître.