Par Alain SANTACREU
L’INJECTION DU MAL ABSOLU
Avec les injections par ARN messager, nous sommes entrés dans l’ère post-humaine du mal absolu. L’apocalypse que nous vivons aujourd’hui est « une apocalypse sans royaume » (expression employée par Günther Anders dans La Menace nucléaire), celle des derniers temps de la désolation, sans espérance ni volonté, sinon cette volonté de jouir jusqu’à son dernier souffle et de vouloir profiter à tout prix de sa propre « souvie » (néologisme inventé par le poète Brice Bonfanti).

Le mal absolu signifie la destruction de l’espèce humaine. Mal indépassable parce qu’il n’y aura pas d’autre mal après lui, l’homme ayant totalement disparu. La Shoah était déjà annonciatrice de ce mal impensable, puisque les Nazis avaient planifié l’extermination de tout un peuple.

Dans cette apocalypse sans royaume, il n’y aura pas de jugement dernier ni pour les justes ni pour les réprouvés, c’est-à-dire ni pour les « vaccinés » ni pour les « non-vaccinés ». Cette période apocalyptique va s’étendre jusqu’au jour où les derniers humains prendront conscience du délai imparti à leur anéantissement. Or, plus la fin sera proche, plus l’unique jouissance sera de faire le mal pour le mal, ce qui est la forme achevée du mal radical. L’idée de l’humanité disparaîtra au fur et à mesure que les humains seront de moins en moins nombreux, d’où la terrible solution finale –envisagée par l’espèce transhumaine qui doit nous supplanter – contre le groupe témoin des « non vaccinés », derniers garants biologiques de l’humanité condamnée.

Il semblerait, d’après certains biochimistes, que l’onde de l’ADN puisse se modifier selon l’état d’esprit de l’individu : sous l’effet d’états psychiques engendrant l’angoisse ou la joie, la structure doublement spiralée de l’ADN s’allongerait ou se rétracterait. Ainsi, la terreur instaurée par le pouvoir politique viserait non seulement à fabriquer le consentement des masses et leur servilité volontaire, mais pourrait aussi favoriser une opération subreptice sur l’ADN humain.

Dans le processus des injections par ARN messager, un message codé en langage ARN est envoyé à toutes les cellules du corps pour qu’elles produisent des protéines de pointe (Spike) du virus. Une fois inoculées dans le corps, ces protéines injectées vont commencer à modifier, à plus ou moins long terme, le génome humain par retranscription inverse de l’ARN à l’ADN.
Cette modification de l’ADN renvoie à l’énigmatique expression de « seconde mort » (ho deuteros thanatos) que l’on rencontre dans l’Apocalypse (Ap 2, 11 ; 20, 6 ; 20, 14 ; 21, 8).

Il est remarquable que le sigle A.D.N. soit l’abréviation du nom biblique ADONAÏ dont le schème, en hébreu, s’écrit avec les trois lettres Aleph, Daleth et Noun (ADoNaï). Le code biblique d’Adonaï – le « Seigneur de notre être intérieur » – se révèle ainsi être la programmation de la vie.

On observera qu’Adonaï est un schème proche du nom de l’homme, ADaM. L’homme extérieur – Adam – est la manifestation de son « Seigneur intérieur » ADoN, son âme.

Si le mal absolu est incommensurable, le Bien qui apparaît dans les temps apocalyptiques de la fin, est un amour infini. Amour désintéressé, compassion spontanée pour la souffrance de son prochain, cet amour que les grecs appelaient Agapè.

L’apocalypse que nous vivons est un dévoilement des ténèbres et de la lumière, du mal absolu et de l’amour absolu. Les temps apocalyptiques ne sont pas dialectisables : nous sommes soit d’un côté, soit de l’autre. C’est pourquoi, ceux qui ont choisi la lumière – ou que la lumière a choisis – doivent faire sécession avec ce monde de la technoscience, qui est celui du mensonge ontologique, pour se réfugier dans les catacombes de la liberté, créer de nouvelles communautés d’entraide qui ne seront pas religieuses mais simplement humaines, et où vivront ensemble, dans un esprit fédératif et mutualiste, les non-vaccinés et les vaccinés qui n’auront pas renoncé à leur dignité.

Le code génétique est au croisement de milliers de circuits électromagnétiques provenant de multiples dimensions. Au cœur de ce système de systèmes, il existe un programme central relié au cœur universel. C’est à partir des signaux émis de cette source que notre âme se relie à ce que d’aucuns appellent Dieu – mais que l’on peut dénommer autrement, si l’on rejette toute transcendance – d’où émane un signal d’attraction universel : l’amour qui aimante les étants qui l’accueillent. Ce mystère statistique vertigineux que les scientifiques appellent ajustement fin, cette infinité de paramètres nécessaires à l’advenue de la vie est un miracle reconduit à chaque instant. Ce qui fait que la vie « tient » depuis des milliards d’années est l’ADN de l’univers auquel l’humanité est reliée, comme tous les autres étants. L’ADN est le Katechon de la vie et c’est sur lui que le transhumanisme totalitaire veut jeter son dévolu. Contre l’injection dans leur corps du mal absolu, les hommes libres des temps de la fin se conformeront dans leur coeur à l’injonction du Bien absolu, et ce sera le dernier combat de l’humanité.
Source : http://www.contrelitterature.com/
