par Dionysos ANDRONIS
- A propos d’Ernesto Mila, Occultisme et National-Socialisme, éditions Ars Magna, Nantes, 2016.

Cet essai de l’universitaire espagnol Ernesto Mila (né en 1954) s’appuie solidement sur une base poétique : l’ambiguïté. Nous justifierons ce point de départ plus loin.

C’est plutôt rare dans l’édition française aux droits d’auteur protégés mais cet essai a été traduit pour la première fois en 1990 par Bernard Dubant et pour les éditions Pardès.

Cette nouvelle traduction par la maison de Christian Bouchet est fraîche et malheureusement nous ne pouvons pas la comparer à la première puisque cette nouvelle est la seule que nous avons lu.
« Encore aujourd’hui, une bonne partie des restaurants végétariens en Espagne et des milieux défendant ces postulats dans ce pays sont liés à la Société Théosophique ou à des sectes similaires » (op.cit. ; page 28). Le côté paranormal et pourtant historique est donc souligné dès les premières pages.

L’ambigüité fait triomphalement son apparition encore une fois à la page 72 où Ernesto Mila en parlant d’Alfred Rosenberg écrit : « en 1928 à 35 ans il publia Le Mythe du 20e siècle « (op.cit. ; page 72).
Pour d’autres historiens, le chef d’œuvre de Rosenberg a été écrit en 1930. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Rosenberg).

Pourtant le grand essayiste et théoricien du nazisme fut pendu par les alliés en 1946. Son principal crime aurait été d’avoir écrit ce classique de l’occultisme et chef d’œuvre de la littérature mondiale. « En règle générale ces sources tendent à démontrer que le nazisme fut satanique dans son orientation » (op.cit. ; page30).
Mais pourtant cette démarche ne se serait-elle pas auto-censurée elle-même ! « Hitler eut la bombe atomique mais il refusa de l’utiliser et que parmi ses armes secrètes figuraient les OVNI » (op.cit. ; page 135).

Miguel Serrano (https://fr.metapedia.org/wiki/Miguel_Serrano) l’ambassadeur chilien qui avait aidé Savitri Devi (https://metainfos.com/2021/12/23/la-foudre-et-le-soleil/) à fuir les alliés a écrit cette phrase qui pourrait servir de conclusion aussi pour l’ouvrage de Ernesto Mila : « à la fin de la deuxième guerre mondiale la Charte de San Francisco fut adoptée par les Nations Unies. Elle mélange toutes les races afin que les juifs puissent les contrôler » (in Miguel Serrano, un ésotériste hitlérien« , (éditions Ars Magna, 2003, page 9).

Et pour revenir à notre essai, nous allons vous reproduire une citation macabre mais vivifiante : « Hitler est vivant mais sous la terre » (op.cit. ; page 134).
N’est-ce pas le même cas aujourd’hui ?
[Mais qui en sont vraiment les continuateurs diaboliques ? Pas forcément ceux qu’on souhaite, regardez du côté des labos et de Davos ! NdR].

- A propos d’Ernesto Mila, Occultisme et National-Socialisme, éditions Ars Magna, Nantes, 2016.
Cet essai de l’universitaire espagnol Ernesto Mila (né en 1954) s’appuie solidement sur une base poétique : l’ambiguïté. Nous justifierons ce point de départ plus loin.
C’est plutôt rare dans l’édition française aux droits d’auteur protégés mais cet essai a été traduit pour la première fois en 1990 par Bernard Dubant et pour les éditions Pardès.
Cette nouvelle traduction par la maison de Christian Bouchet est fraîche et malheureusement nous ne pouvons pas la comparer à la première puisque cette nouvelle est la seule que nous avons lu.
« Encore aujourd’hui, une bonne partie des restaurants végétariens en Espagne et des milieux défendant ces postulats dans ce pays sont liés à la Société Théosophique ou à des sectes similaires » (op.cit. ; page 28). Le côté paranormal et pourtant historique est donc souligné dès les premières pages.
L’ambigüité fait triomphalement son apparition encore une fois à la page 72 où Ernesto Mila en parlant d’Alfred Rosenberg écrit : « en 1928 à 35 ans il publia Le Mythe du 20e siècle « (op.cit. ; page 72).
Pour d’autres historiens le chef d’œuvre de Rosenberg a été écrit en 1930. Pourtant le grand essayiste fut pendu par les alliés en 1946. Son principal crime aurait été d’avoir écrit ce classique de l’occultisme et chef d’œuvre de la littérature mondiale. « En règle générale ces sources tendent à démontrer que le nazisme fut satanique dans son orientation » (op.cit. ; page30).
Mais pourtant cette démarche ne se serait-elle pas auto-censurée elle-même ! « Hitler eut la bombe atomique mais il refusa de l’utiliser et que parmi ses armes secrètes figuraient les OVNI » (op.cit. ; page 135).
Miguel Serrano, l’ambassadeur chilien qui avait aidé Savitri Devi () à fuir les alliés a écrit cette phrase qui pourrait servir de conclusion aussi pour l’ouvrage de Ernesto Mila : « à la fin de la deuxième guerre mondiale la Charte de San Francisco fut adoptée par les Nations Unies. Elle mélange toutes les races afin que les juifs puissent les contrôler » (in Miguel Serrano, un ésotériste hitlérien« , éditions Ars Magna, 2003, page 9).
Et pour revenir à notre essai, nous allons vous reproduire une citation macabre mais vivifiante : « Hitler est vivant mais sous la terre » (op.cit. ; page 134). N’est-ce pas le même cas aujourd’hui ?
[Mais qui en sont vraiment les continuateurs diaboliques ? Pas forcément ceux qu’on souhaite, regardez du côté des labos et de Davos ! NdR].
Résumé du livre fourni par l’Editeur: Ars Magna Editions : https://www.editions-ars-magna.com/
Parution:mai 2016
Format:Broché
Pages:150 pages
EAN13:9782912164926
Dans ce livre, Ernesto Mila, défend la thèse qu’il y eut à l’intérieur du national-socialisme des courants inspirés par des doctrines ésotériques et traditionnelles, d’un côté, et occultistes, de l’autre. Pour lui, ces courants n’étaient pas liés, n’avaient pas les mêmes origines, ni même la même orientation traditionnelle. Ils procédaient de transformations successives de l’Ordre des Illuminés, du Germanenorden, de sectes occultistes de la fin du siècle dernier et du début de celui-ci (Astrum Argentinum, théosophisme, anthroposophisme) et de groupes orthodoxes du point de vue traditionnel. Dans un premier temps, ces courants semblent s’être focalisés dans la Société Thulé. Puis, dans l’entourage de Rosenberg, d’un côté, et dans celui d’Himmler, de l’autre, c’est leur histoire qu’Ernesto Mila vous convie à découvrir.
Sur le thème la rédaction renvoie à : (https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/02/25/planete-signes-francois/) :
