par Dionysos ANDRONIS
- A propos du Manifeste Nationaliste Blanc de Greg Johnson, éditions White Revolution Books, Londres, 2021.
Encore une fois nous avons lu un ouvrage distribué par Jean Plantin et par sa maison totalement anti-conformiste Akribeia. Ce mystérieux éditeur WRB (White revolution books) n’est pas du tout répertorié sur internet et nous pouvons deviner le pourquoi : parce que ses ouvrages sont très dangereux pour les statuts ordinaires de la majeure partie du lectorat français. Nous avions lu (et écrit un article sur) « Le nationalisme blanc » du même auteur et cette fois nous pouvons vous affirmer que l’américain Greg Johnson est un de nos essayistes préférés. En plus, il est critique de cinéma sous le pseudo Trevor Lynch mais d’un point de vue nationaliste. Il est également l’archiviste officiel de notre bien aimée Savitri Devi.
Nous avons remarqué que la division des chapitres n’est pas ordinaire chez Johnson : il y a une brève introduction et puis de suite le chapitre 2. Nous avons fait le parallèle avec un argument absurde qui est entre les pages 23-24 : « pour que la population blanche existante se reproduise, chaque couple doit avoir en moyenne 2,1 enfants…et 0,1 pour remplacer la race en compensant l’absence d’enfants de ceux qui ne parviennent pas à se reproduire » (op.cit., pp 23-24). Ce n’est pas du tout une touche d’humour pour ce sujet grave mais un cri d’alarme pour saisir la gravité du sujet : l’extinction de notre race blanche est en cours et la pratique de solutions absurdes mais pourtant compréhensibles semble être la seule solution.
Nous avions aussi aimé la référence primaire à Alain De Benoist sur la page 41, donc au début, puisqu’il est le plus grand philosophe païen d’aujourd’hui. Son ouvrage publié en 1981 Comment peut-on être païen aujourd’hui? pourrait être résumé par ces phrases salvatrices de Johnson : « les appels à la culpabilité blanche relèvent presque toujours d’une escroquerie morale….la disparition des blancs ne serait pas une tragédie, à cause des actes terribles que les blancs auraient commis tout au long des temps historiques….la culpabilité blanche est la cause première de ce mépris que les blancs ont pour eux-mêmes » (op.cit., p. 41). Une phrase de Johnson très en rapport avec De Benoist : « le déclin du christianisme marqua l’essor d’un nouveau système de valeurs hégémonique, le libéralisme » (op.cit., page 70).
Les solutions absurdes continuent à la page 61 « enrichissons les noirs… par le biais d’aides à leurs pays ». Mais cette mesure de science fiction ne pourrait-elle pas nuire à notre économie? Pourtant Johnson devient plus logique à la page 71 où il cite l’ethno-nationalisme comme une solution qui n’est pas vraiment originale puisque le sud-africain Arthur Kemp (pourtant non cité dans le livre, ni à l’index ni dans la bibliographie finale) avait consacré un ouvrage entier à ce sujet : Qu’est-ce que l’ethnonationalisme?« , éditions Akribeia, France, 2016. « L’ethnonationalisme s’oppose aussi au modèle assimilateur du « nationalisme civique » qui ne tient pas compte de la race et de l’ethnicité » (Kemp, 2016, écrit sur la couverture au dos du livre)
Afin de souligner la différence sexuelle de Greg Johnson, puisqu’elle est aussi la nôtre, nous allons copier un extrait d’une discussion en ligne entre Trey Knickerbocker (le pseudo officiel d’un rédacteur du site Occidental Dissent) et lui-même :
« TK : Expliquez brièvement au public ici en quoi l’homosexualité est un idéal aryen ?
GJ :Trey, vous êtes vraiment mon wignat * préféré. Personne ne combine un faible QI avec une méchanceté hystérique comme vous »
(copié par le site d’Alex Linder « kirksvilletoday.com – vous le trouverez facilement).
* néologisme pour « nationaliste blanc »