par Dionysos ANDRONIS
- A propos de Don Heddesheimer, L’holocauste avant l’holocauste, éditions La Sfinge, Rome, 2014.

C’était notre camarade américain John Kaminski qui nous a orienté vers la page Face Book de l’essayiste Don Heddesheimer d’où nous avons appris qu’il est avocat (son boulot alimentaire). Pourtant un autre camarade à nous, le très fameux Directeur du CODOH (Committee of Open Debate On Holocaust), Germar Rudolf a hésité à nous communiquer son e-mail en nous écrivant : « C’est une vraie personne, et c’est son vrai nom, et il n’est pas mort du tout. Puisqu’il est un employé du gouvernement, il ne veut pas attirer beaucoup d’attention, nous gardons donc tout cela discret. » (sur un e-mail personnel envoyé à nous le 02/04/21). C’est ce même Germar Rudolf qui avait écrit la préface à l’édition ci-dessus.
Nous avons fait une recherche poussée sur l’écrivain et son œuvre et nous avons vu que cet essai a déjà fait l’objet de deux tirages américains : le premier date de 2001 aux éditions The Barnes Review et le deuxième en 2003 aux éditions TADP (Theses And Dissertations Press). Mais nous avons lu la traduction française de Gilles Bertin qui n’est pas du tout son homonyme, le chanteur du groupe punk français Camera Silens mort en 2019.

Le livre de Don Heddesheimer révèle un modèle de propagande judéo-sioniste qui a été utilisé depuis la fin des années 1800, d’abord contre la Russie tsariste, puis en faveur de la révolution soviétique, ensuite contre l’Allemagne nazie, et enfin en faveur d’Israël. (sur la page web de l’éditeur américain : http://holocausthandbooks.com/index.php?page_id=6 ; lire le 4e paragraphe).
Nous n’allons pas vous présenter cet ouvrage mais vous montrer combien nous avons aimé une référence à un nom. Cette référence nous a ouvert les yeux et nous a prouvés que les juifs sont les maîtres du monde surtout grâce à leur maitrise absolue du cinéma. A la page 124 nous lisons en effet que Evelyn Morrissey était la directrice du Jewish Workers and Farmers in Crimea and Ukrania. Or, nous savions très bien que le fameux cinéaste américain Paul Morrissey appartenait à la « communauté » et pour cette raison nous voulons vous parler brièvement du plus communiste de ses films, le peu connu Madame Wangs, réalisé en 1981.
Maurice Yacowar a écrit sur ce film qui parle d’un jeune chanteur communiste qui rêve de commencer une nouvelle révolution aux Etats-Unis et qui « se tranche avec un couteau à cran d’arrêt mais plutôt que de jouer …il se coupe la poitrine… » (Maurice Yacowar in The films of Paul Morrissey, éditions Cambridge Film Classics, page 68, 1993).
Ainsi nous pouvons conclure tristement que les juifs avec leur attitude révolutionnaire s’automutilent (et accusent les autres après coup !). L’holocauste aussi pourrait aussi être un tel mensonge suicidaire provoqué par cette mentalité consistant à exhiber toujours une attitude provocatrice et autodestructrice.
