Par Bernard PLOUVIER
En toute époque, la police et la justice, comme l’armée (avec parfois quelques réserves du côté des idéalistes) , l’administration ou encore le clergé lorsque ses membres étaient salariés par l’État, ont été au service du pouvoir – donc de l’argent, car très rares ont été les monarques dits de droit divin à se dissocier des puissances d’argent – et non au service de la Nation, pourtant principal – et parfois seul – agent payeur, par les impôts et les taxes.

C’est profondément immoral, mais c’est tout-à-fait naturel, si l’on veut bien se souvenir que la vie sur Terre – du moins pour le règne animal – est un enfer où règnent les grands, les gros, les petits.
Certains secteurs peuvent paraître – vus de loin – moins politisés, moins pourris que d’autres : ceux des services de soins et d’enseignement. En réalité, les pieuvres maçonnique et politicienne sont toujours parvenues à y étendre leurs tentacules. Et le diable malicieux politico-clérico-maçonnico-affairiste répète aux gogos qu’il n’existe pas ! [ l’auteur précise qu’il ne croit ni en dieu ni au diable : l’imagination humaine suffit amplement à engendrer l’un et l’autre]
Seconde partie : Fin de la notion de service public
Il est une réalité occidentale niée par les politicards et journaleux de la gamelle, en France : à Bruxelles, à Rome ou à Lisbonne, les prisons regorgent d’hôtes d’origine extra-européenne. Les viols à Oslo, en terres (encore) britanniques ou en République allemande sont en majorité le fait de crapules sexuelles d’origine extra-européenne ; il en va de même pour la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’armes.

S’il faut en croire les démagogues du petit écran, rien de tout cela n’est à déplorer en France. D’ailleurs, les publicités télévisuelles de la Ripoublique pas encore islamique de Franchaouia sont farcies de Noirs intelligents, probes et travailleurs, courtois et serviables. Et personne ne peut prétendre qu’il n’existe pas d’immigrés d’origine extra-européenne qui développent ces qualités… même s’ils feraient beaucoup mieux de les utiliser dans leur(s) continents(s) d’origine pour les civiliser, les développer, les enrichir de leur présence fort positive.
Toutefois, la réalité française – et l’on ne parle ici que de la métropole – diffère beaucoup, voire du tout-au-tout avec les jolies publicités et les mignons télé-films envahis de gentil(le)s Noir(e)s et d’agréables ou hypersensibles Maghrébins.

E. Macron est arrivé au pouvoir alors qu’était close la série d’attentats djihadistes qui a meurtri l’Occident durant les deux présidences du très ambigu Barak-Hussein Obama (Joe Biden étant son colistier), le tout ayant mystérieusement disparu sous le règne d’un homme efficace – peut-être histrionique à l’excès – Donald Trump. Mais si notre Génial Hyper-Président-réélu dans un fauteuil n’a pas eu à essuyer d’autres ennuis que ceux induits par son entourage – politicards et hauts-fonctionnaires bizarres, et ceux tirés de la part la plus obscure du show-business -, notre nation, elle, a beaucoup souffert par la baisse d’efficacité des services publics.
Les hôpitaux publics, la poste, l’enseignement sont en voie de tiers-mondisation pour ce qui est de l’efficience, soit le rapport existant théoriquement entre une fonction et la capacité à la remplir. Fort heureusement, le courriel a remplacé le courrier ; il existe une médecine et un enseignement privés… c’est plus cher, mais souvent plus sûr, hormis quelques centres de très haut niveau (et le médecin des hôpitaux, refusant toute activité privée, que fut l’auteur durant 41 années constate le déclin hospitalier public avec moins de tristesse que de fureur pour les politicards qui ont laissé pourrir un secteur autrefois performant, non sans ratés bien sûr, comme dans toute activité humaine).
Les campagnes sont devenues des déserts en matière d’infrastructures et l’on tente d’en modifier la géographie humaine par une double absurdité. On veut y implanter des immigrés totalement étrangers à la vie rurale française, qui sont des individus nullement venus en France pour travailler la terre, mais pour jouir d’un maximum d’avantages sociaux ! Jamais une équipe de pieds nickelés de la politique ne s’est autant moquée des ruraux de France que le sieur Macron et ses comiques troupiers malfaisants.
Il y a pire. L’insécurité n’est pas un argument électoral ; c’est une réalité ! Nantes semble être devenue la ville française N°1 du crime – on y tire à l’arme à feu plusieurs fois par nuit, mais Marseille, certaines communes des régions parisienne et lyonnaise ou du Nord, sont bien près de la rejoindre dans cette position d’un prestige douteux.
Des voyous – rarement « Français de souche européenne » – attaquent, dans les rues et places publiques ou à domicile, des personnes âgées. On en reviendra bientôt aux atrocités des « chauffeurs » des XIVe–XVe siècles ou de la Révolution française avant la reprise en mains fermes par Bonaparte. Les enquêtes policières sont d’autant moins poussées que les victimes, terrorisées ou hagardes, ne fournissent que peu voire pas de renseignements utiles.

Les sorties de boîtes de nuit sont devenues des coupe-gorges… un jour, les parents ou les adolescents blancs s’armeront et l’on en reviendra aux guerres et guérillas privées qui avaient disparu depuis deux siècles… « Macron, c’est le progrès » !
Les viols ne sont pas, en France depuis vingt ans, une « réalité quotidienne », mais une réalité archi-pluri-quotidienne. La nouveauté, par reprise des pires moments de notre histoire – les derniers épisodes datant des années 1944-46 -, est la fréquence du viol avec mutilations, voire assassinat de la victime.

Toutefois, l’An 2022 apporte une nouveauté étonnante et un peu d’espoir. Lassés de la mollesse policière et de l’incurie des magistrats – c’est fou ce qu’ils peuvent être « débordés » et lents, ces grands hommes qui savent le Droit -, des membres de la famille ou du voisinage de victimes se lancent, et avec quelle efficacité, dans la traque des crapules sexuelles. Jusqu’à présent, ces enquêteurs privés d’un nouveau type n’ont tué aucun de ces voyous, se contentant de les remettre aux policiers, qui ne se pressent pas trop pour prendre livraison du « colis » – ce qui laisse un peu trop longtemps les voyous aux mains de leurs gardiens d’où quelques coups… Macron, c’est le progrès : le passage à tabac échappe aux « cognes » !

Et cela fait hurler nos prodigieux juristes. Au lieu de saluer la rapidité de l’enquête des parents et amis, les glorieux procureurs de la République se fâchent. Au nom de quoi ou de qui, de simples citoyens peuvent-ils oser se substituer aux enquêteurs et clôturer en un à deux jours un travail que nos merveilleux pandores terminent rarement en une semaine ? Peut-être au nom de l’équité : pour la stabilité de toute société, il est nécessaire qu’un criminel soit puni. Depuis Hammourabi (38 siècles en arrière) et Platon (seulement 25 siècles), on sait que le calme dans la cité ou l’empire nécessite une justice vite et bien rendue. Ce qui compte avant tout pour ramener la quiétude des esprits, c’est l’inéluctabilité du châtiment de l’ordure criminelle. Car le criminel est beaucoup moins souvent une « victime de la société » qu’un déchet social.

S’il faut en croire le Grand Will, il y avait quelque chose de pourri dans le royaume médiéval de Danemark. Cela valut à l’Occident une très grande œuvre théâtrale. De nos jours, c’est tout l’Occident qui est pourri. On trouvera peut-être un Shakespeare ou un Goethe pour narrer tout cela dans quelques siècles.
Mais il est évident que nos nations peuvent se sortir de leur marasme moral, à condition de réagir comme ont commencé à le faire de simples citoyens, honnêtes – et certains sont d’origine maghrébine ! -, furieux de l’incapacité – non plus des politicards, ça on le savait depuis 1918 – mais des services de sécurité publique.
Après tout, si la médecine et l’enseignement privés sont généralement plus performants que leurs homologues du secteur public, pourquoi ne pas créer une police privée d’enquêteurs, certes désarmés, mais enthousiastes ?
Il fut un temps où l’on pensait privatiser le système pénitentiaire. L’on pourrait imaginer une justice sortie du domaine régalien, strictement séparée des milieux faisandés de la politicaille, des syndicats politisés, des sectes maçonniques et de la mafia des affairistes, pour en obtenir davantage d’efficience – soit châtier le coupable de délit(s) et de crime(s) en proportionnant la peine aux torts infligés ?
Il est nécessaire de repenser notre organisation sociale et de congédier les parasites : ceux inutilement importés en une période de chômage structurel massif et ceux – locaux ou immigrés – qui ne sont bons qu’à causer, ces adeptes du psittacisme qui n’ont jamais fait de travail utile à la nation et à la patrie, mais qui osent régenter notre vie.