Par Bernard PLOUVIER
France, une Nation désorientée, un État qui n’est plus dirigé.
Quels que soient les résultats du second tour des législatives de juin 2022 en ce début de Macronnerie-II Le Retour, un Français sur 2 dit « M…. aux politicards ! », Macron le très mal-élevé ayant fait école au moins sur le plan de la grossièreté publique.
L’autre moitié de l’électorat, dont on ne sait trop qu’elle est sa proportion de non-Européens donc de non-autochtones, se divise en 35-36% de partisans intéressés du capitalisme (ou « libéralisme ») – les macroniens et les résidus gaullo-chiraquiens -, 25-26% de socialo-gaucho-marxo-écolos paumés qui reprennent hébétés la rengaine de la haine des classes, et 24-25% de populistes divisés en chapelles haineusement concurrentes.
Rien de bien nouveau !
La Nation est écœurée de la politicaille professionnelle. La moitié du corps électoral se fige dans le mépris ; un tiers fait semblant de croire aux sirènes du libéralisme faisandé ; un quart reste fidèle au brouet marxiste, si rassurant pour les haineux simplistes ; un autre quart veut croire à la méritocratie populiste et 5% de nos compatriotes restent de sympathiques farceurs folkloriques.
Il est évident que notre sublime Président-Dictateur-Général, qui a tant d’argent, de cadeaux et de sinécures à distribuer aux frais de l’État, trouvera une majorité de combinards, mais que va devenir la nation, dans un État qui n’est plus qu’un « chien crevé dérivant au fil de l’eau » ?
Il manque un homme jeune, dynamique, honnête et sincère pour diriger la masse des Français de souche européenne… et ce vide risque fort de n’être pas comblé avant fort longtemps.