Par Bernard PLOUVIER
Génial Président-Dictateur Général vient de faire très fort avec son nouveau gouvernement. Ce n’est même plus de la provocation, c’est, pour la Nation française, la plongée dans le néant.
Mais la nation n’a que ce qu’elle mérite. La mocheté morale des dernières campagnes électorales ces dix dernières années, le crétinisme politique des parvenus aux apparences du pouvoir, tout cela n’est que le reflet de notre déchéance. La Nation française, submergée d’inutiles alluvions d’origine extra-européenne, s’est aveulie, est devenue vulgaire et minable. Ce n’est même plus un « peuple de veaux » (version gaullienne), mais de « vieux cons » et de jeunes hédonistes !
C’est la répudiation complète de notre histoire. Certes, tout (ou presque) est faux dans l’histoire telle qu’elle est racontée par les aèdes officiels des universités et des media, mais cette narration fortement idéalisée est indispensable à la vie d’une Nation. Elle soude la collectivité et enseigne les vertus de noblesse et d’abnégation au service de la collectivité, du dévouement à l’État lorsque ses chefs en paraissent dignes, éventuellement du sacrifice suprême pour la grande cause patriotique.
Rien, absolument rien n’est enthousiasmant, ni même beau dans la Ve République agonisant dans les malversations et l’absence de fierté nationale, dans l’invasion par les laissés pour compte du Tiers-Monde qui paradent devant les media, envahissent la publicité télévisuelle et jouissent des hommages officiels de la Ripoublique.
Comment croire en ces guignols qui se succèdent depuis cinq décennies pour faire tous la même « politique du chien crevé dérivant au fil de l’eau » (expression brevetée IIIe République), une politique qui ne leur est même pas dictée par une volonté personnelle, mais qui leur est imposée par le Pouvoir économique ou par un désir de revanche ethnique.
Personne à la tête de l’État ne pense, pas même une seconde, à l’intérêt de la Nation française. En favorisant l’avortement de complaisance des Françaises de souche européenne, on a justifié l’importation de 15 millions d’Africains, de Proche- et de Moyen-Orientaux, sans prendre le moins du monde l’avis du « peuple souverain » – brevetée Révolution de 1789, cette expression-là ! Ce faisant, on a implanté l’islam djihadiste et deux mille cités de non-droit sur le sol national.
On laisse détruire l’industrie française et l’on brade ses rares fleurons encore superbes aux multinationales. On amuse la galerie avec de faux problèmes d’une écologie de pacotille, où les incantations jouent davantage de rôle que l’étude scientifique.
Que les électeurs pas trop stupides veuillent bien méditer un instant sur leurs buts de vie et sur l’avenir de leurs enfants. Que, surtout, ils tentent de penser par eux-mêmes, en s’écartant du bourrage de crânes des media télévisés, tous aux ordres du pouvoir économique.
La propagande actuelle est de type individualiste, car, en persuadant chacun qu’il est un petit roi ou une jolie princesse, elle permet de noyer les véritables problèmes de fond sous une avalanche de petits besoins et de jouissances au quotidien. Or, la gestion d’un État est affaire de collectivité nationale, soudée ou à refaire.
L’avenir du continent européen échappe de plus en plus à ses maîtres légitimes : il est temps de réfléchir à l’adéquation d’un continent et de son peuplement, de réfléchir à la définition du but d’un gouvernement.
Le bon gouvernement est celui qui s’occupe exclusivement du Bien commun. Par le peuple, pour le peuple… ou la disparition dans le Grand Village planétaire peuplé du produit du Grand Métissage. Exaltant programme, typiquement macronien !