Par Michel LHOMME
La dernière semaine du dépôt des parrainages, la candidate Le Pen n’avait que 414 signatures. Dans les 3 derniers jours qui précédaient la date limite du 4 mars, le Conseil Constitutionnel avait reçu 189 parrainages alors qu’il en avait validé une petite cinquantaine la semaine d’avant. C’est grâce au coup de pouce de la Macronie et des maires du Modem qu’elle a pu concourir.
Bayrou, le président de l’ombre, et sans doute le personnage politique français le plus nuisible depuis des décennies en tant que maire de Pau, a personnellement parrainé Marine Le Pen. La manipulation de l’opinion publique par les sondages, le vote utile, le faux débat et la tricherie ont fait le reste.
Macron avait besoin de Le Pen pour se faire réélire et Le Pen avait besoin de Macron pour ne pas disparaître du paysage politique et poursuivre son train de vie fastueux. Dans ce jeu de bonneteau, elle a joué son rôle de caution démocratique. Et on nous encourageant à voter, elle a entretenu et renforcé le système, puisqu’in fine, le Rassemblement National sort de l’élection comme l’opposant principal qu’il doit rester jusqu’à… la prochaine élection !
Le « Tout sauf Macron » que presque tous ont soutenu ne pouvait pas fonctionner avec la Le Pen. Pour virer Macron, il faut commencer par virer les Le Pen. Ils ne sont pas la solution, ils font partie du problème.
Il faut sortir mentalement du Système, entrer dans la clandestinité et pour l’abattre, lui résister par d’autres modes de consommation et d’information, le saboter et attaquer ces serviteurs sans aucun état d’âme pseudo-démocratique : nous ne sommes plus depuis belle lurette en démocratie !
Je cautionne à 100%
Organisons-nous
La résistance doit se réaliser par des actes
Être sous les radars !