DES MAGICIENS DU VERBE ET DU BON PEUPLE 2/2

Deuxième partie : l’avenir du fléau Macron

Par la faute de 30% d’électeurs égarés en 2017 sur son nom et ses promesses démagogiques, dont aucune n’a été tenue, nous devons subir Macron et sa dictature pseudo-sanitaire – car, pour un médecin, les ukases de Grand Président-Dictateur-Général et de ses ministres ô combien « compétents » font frémir par leur sottise et ne peuvent en aucun cas passer comme ressortant d’une attitude scientifique.

Jean Castex, Premier ministre, et Emmanuel Macron, président de la République, participent au Conseil des Ministres au Palais de l’Elysée à Paris, mercredi 9 juin 2021

Se pose donc, tout naturellement, le problème simple comme une équation de base : « Stop ou encore » !

L’élection présidentielle de 2022 promet de surpasser toutes les précédentes en surenchère de promesses et en énormité des mensonges – ne serait-ce que sur le nombre d’immigrés en provenance d’Afrique, naturalisés ou non, officiels et clandestins, et la certitude du remplacement de population dominante à l’horizon 2050-2070 par le seul effet de la différence du nombre des grossesses entre Françaises de souche européenne et les autres.

On a déjà rapporté dans ces colonnes la fréquence, variable selon les régions, des « naissances à risque de drépanocytose », ce qui témoigne d’une hérédité totalement ou partiellement africaine.           

Les statistiques de l’INSEE permettent de constater l’évolution de la fréquence des prénoms attribués à des nouveau-nés. Les prénoms à consonnance arabe et à connotation mahométane étaient donnés à 3% des bébés en 1970, avant le décret Giscard-Chirac. En 2020, le prénom Mahomet-Muhammad (sous ses diverses variantes) a été donné 2 400 fois, contre 500 Mathieu-Matthieu-Matthias (et autres variantes). Younes (et variantes) : 600 fois, Youssef-Youssouf (et variantes) : plus de 1000 fois, Yazid-Yasine-Yassine (et variantes) : 500 fois et Yasser : 155, pour 50 Yan(n)ick (et variantes) ! Henri (et variantes composées) reste attribué 400 fois (contre 7 à 9 000/an durant les années 1900-1940). Pas trop besoin de polémiquer : les chiffres parlent d’eux-mêmes.       

Chaque grande échéance électorale est une nouvelle occasion d’étudier sur le vif les magiciens du verbe et leurs victimes, consentantes à force de bêtise. La soupe populaire n’a pas changé depuis des millénaires : on promet toujours un monde de miel et de lait (actualisé en foie gras et champagne ou en hamburger-Coca), issu de moins de labeur et de peines, on promet des avantages sociaux en pagaille, en résumé les trop fameux « lendemains qui chantent », plus exactement qui devraient chanter à l’échéance de la fin du quinquennat, ou pour la génération à venir, voire pour l’après-vie… et cela reste d’un fort rendement du côté de ceux qui considèrent que l’Enfer est sur Terre.

Le monde né entre 1980 et 1990 a un peu modifié les perspectives. L’espoir eschatologique du paradis surnaturel ou de nouvelles existences terrestres a été en partie remplacé par le renouveau de popularité de l’hédonisme : tous les plaisirs et tout de suite ! Les merveilleux immigrés exotiques et leur Djihâd, né de l’esprit malade d’un certain Mahomet, sont venus à point pour effrayer les Occidentaux et leur rappeler avec quelle facilité la vie peut être écourtée : il est donc devenu urgent de consommer beaucoup, puisque demain peut s’avérer trop tard. De fait, jusqu’à 2019, le petit bonheur pour tous semblait à portée de main.

Mais les fondamentaux de l’exercice du Pouvoir n’ont pas changé depuis des millénaires. Les véritables maîtres du jeu savent d’expérience qu’il faut savoir manier la carotte et le bâton : les promesses en période pré-électorale alternent avec la rudesse des réalités durant les intervalles électoraux. Et Grand Président Macron s’est avéré un maître de la terreur. Cet Hitchcock de la politique a rénové le schéma dictatorial alors même que ses résultats le qualifient pour le titre de Fléau moderne de la France.

On ne peut pas regretter Hollande, parce que le néant n’intéresse que les « psy » en tous genres et nullement les gens sérieux. À ce que l’on sait ou croit savoir, Macron est irréprochable sur les plans sexuel et financier, mais le degré de respectabilité d’un homme en son privé n’est nullement un gage d’efficacité chez un chef d’État… après tout Albert Lebrun et René Coty étaient des parangons de respectabilité – et l’on aurait pu prendre d’autres exemples que les ultimes Présidents des IIIe et IVe Ripoubliques, régimes assez infects, quand on les étudie de près.     

Le véritable problème à résoudre pour l’Objectif 2022 est de prendre une décision quant à l’immigration extra-européenne. Jamais le « Peuple souverain » – jolie fiction ou simple figure de rhétorique, au choix ! – n’a été consulté sur cette question. Or, en bonne logique historique et géographique, si nous avons besoin d’une immigration, on ne devrait accepter que celle d’Européens de souche.

En outre, il serait bon de prendre enfin conscience que la « nécessité d’importer des humains » n’existerait pas si l’on combattait efficacement la propagande féministe et Gay, si l’on incitait les femmes de souche européenne à faire des enfants et à les élever correctement avec leur mari. Dans cette vision populiste, les Allocations familiales, à réserver exclusivement aux couples de souche européenne, sont la seule dépense à caractère social qui soit à la fois légitime et urgente.

Tout le reste n’est que sots bavardages et manœuvres de politiciens de la gamelle.

Au Japon et en Corée du Sud, on refuse l’immigration-invasion en provenance des autres continents. La Nation française peut adopter cette attitude ou poursuivre l’immigration tiers-mondiste, poursuivre les subventions aux associations de défense des droits catégoriels, à la promotion de la culture homosexuelle ou de la haine du Blanc, sans oublier la tarte à la crème : le mirage du revenu universel, soit le droit d’être payé à ne rien faire d’autre que de consommer et d’alimenter, avec le produit des impôts et des taxes, les revenus des magnats de la grande distribution.

Quels qu’aient pu être les défauts de nos pères – et ces défauts n’étaient ni pires ni plus nombreux que les nôtres -, les moins sots d’entre eux savaient que pour dépenser de l’argent, il faut d’abord le gagner. Les acquis sociaux ne peuvent qu’être le produit de l’épargne collective, amassée grâce au labeur acharné de tous… mais allez faire comprendre cela aux petits princes, aux (pas toujours) jolies princesses autochtones et aux immigrés extra-européens venus envahir le Pays de Cocagne.

Comme toutes les sociétés qui ont précédé la nôtre, le monde actuel est enchanté. Magiciens, escrocs et jobards forment le cocktail obligé de la démagogie électoraliste.

En clair, pour les élections cruciales de 2022, il ne devrait y avoir, et dès le premier tour, que deux candidats : celui de l’économie globale, de la mondialisation de la vie politico-médiatique et du métissage généralisé & celui de la France de souche européenne. Macron, champion du système globalo-mondialo-métissé, versus X (à définir), champion de l’Europe aux Européens de souche.