FRAUDES ET MENSONGES = EMEUTE ET TUERIE

Par Bernard Plouvier

Après les stupidités et les ignominies de l’année 2020, le cru suivant débute mal : la démocratie se meurt aux USA, de la même façon qu’elle agonise en Europe.

Aux USA, comment croire une seconde, désormais, en « la légitimité des urnes » ? Les fraudes massives, et superbement négligées par les juges-politiciens de la Cour Suprême Fédérale – qui ont compris d’où vient le vent –, ont démontré l’inanité de l’expression démocratique de la volonté populaire. En bref, voter ne sert à rien quand des canailles truquent le mécanisme.

Il en est résulté une « émotion populaire », qui n’a pas plus du tout à la presse globalo-mondialiste (et n’hésitons pas à l’écrire : à la presse judéo-mondialiste)… pour l’excellente raison qu’au pays du « Colored is beautiful », ce pays d’où nous est venue la très antidémocratique « discrimination raciale positive », la colère des Blancs est jugée insane !

Lorsque des Noirs manifestent après la mort d’un délinquant noir, aux multiples antécédents de délits et de violences publiques, c’est toute la presse bien-pensante qui se mobilise ! Des Blancs protestent contre un abus manifeste ; 4 Blancs sont assassinés par la police – qui tire sur des hommes et des femmes désarmés -… et « tout le monde s’en fout » !

En Europe – à l’exception de la Suède -, on a détruit la vie économique pour une pandémie indéniable… mais qui tue très peu : 2,15% de morts rapportées aux cas dépistés (en se souvenant que dans les viroses, il y a toujours plus de cas inapparents que de cas signalés par un signe clinique, aussi léger soit-il : la mortalité est statistiquement surévaluée) et selon le principe de la sélection naturelle (85% des morts touchent des sujets de 75 ans et plus ; les sujets plus jeunes souffrant de pathologies préexistantes sévères).

Et nos « princes » en ont profité pour expérimenter un totalitarisme mou : on ne tue pas encore, mais on réalise un matraquage médiatique et l’on verbalise à outrance… tout en transformant en délinquants celles et ceux qui osent penser autrement que nos génaux dirigeants et leurs « experts »… sacrément inexperts.

Car, il faut être très stupide ou très ignorant pour croire qu’un vaccin créant des anticorps va tuer des virus ! Ces microbes, à l’instar des parasites, des champignons et de certaines bactéries ne sont neutralisés que par les macrophages et les lymphocytes tueurs, activés uniquement par un vaccin utilisant des souches de virus vivant à dangerosité atténuée… comme le fait le vaccin anti-poliomyélite et ce que doit apporter le vaccin Sanofi dans un an !

La coronarovirose actuelle épargne 97 à 98% des sujets officiellement contaminés… et les vaccins opérationnels sont réputés efficaces « à 95% » sur les échantillons testés, qui contiennent beaucoup de sujets jeunes et sains… de qui se moque-t-on ?

D’une façon plus générale, on peut considérer que la sociologie de papa est entièrement à revoir. L’un des soi-disant acquis du XXe siècle était que le libéralisme s’opposait au totalitarisme.

Or la Chine, depuis le début du XXIe siècle, nous offre cette chimère politico-économique : un « libéralisme économique » (entendre : la pratique du capitalisme le plus strict et le plus délinquant – faible protection sociale du travailleur de base ; irrespect de la propriété des brevets ; commercialisation d’une pacotille de masse à côté de produits corrects) et une dictature totalitaire (cf. Hong Kong ou l’état de la « Liberté d’expression »).

Aux USA, le pouvoir d’une presse aux ordres des maîtres de l’économie globale est responsable du lynchage de Trump, qui fut objectivement à la fois un excellent Président des States et un histrion. Cette presse a occulté la réalité des fraudes massives – qui sont authentiquement un déni de démocratie. 

En Europe occidentale, la désinformation reste maximale sur l’épidémie Covid-19, sur les conséquences à moyen terme de la crise économique (atteindra-t-on, en France, le cap des 8 millions de chômeurs ?) et celles de la tornade financière : on fait tourner à plein régime la « planche à billets »… ce qui, toujours et partout en histoire, a été le signe avant-coureur d’une banqueroute de l’État !

Il est classique d’opposer la liberté de conscience – le for intérieur – à la liberté d’expression… de fait, combien d’individus hurlent-ils avec les loups ? Mais, le rabâchage pluriquotidien des mêmes stupidités finit par entraîner une réaction absurde même des moins sots parmi les humains : ils en viennent à croire que l’avis de la majorité – même contre toute évidence – est finalement peut-être le bon. C’est la célèbre idiotie : « Vox populi, vox dei » !

Ce viol des consciences explique, bien mieux que les tortures ou le chantage familial, les « aveux » des communistes expédiés par « Staline » aux procès-abattoirs… qui furent applaudis à tout rompre par les clowns de tous les Partis communistes jusqu’en 1956, par la claque des « élites de gauche » en tout pays et même, en France, par les dirigeants de la Ligue des Droits de l’Homme, dont le rapport préliminaire du 15 novembre 1936 – signé par 4 de ses 5 membres chargés d’enquêter sur la « légalité » du premier procès – osait mentionner cette perle : « Ils étaient coupables, puisqu’ils ont avoué » !

C’est de cette façon que l’on attente à la liberté de conscience. Et c’est la pire expression du totalitarisme… qui n’a rien à voir avec le type de régime politico-économique. Le liberté de chacun exige qu’on l’informe sans le désinformer.