LA GUERRE SOCIALE QUI VIENT, CONSTAT ET REMEDES

Par Franck BULEUX

Alors que cette nuit, des voitures brûleront, des quartiers s’enflammeront sans que Moussa Darmanin, le ministre de l’Intérieur malgré ses rodomontades ne soit capable d’enrayer le désordre malgré le couvre-feu proclamé et les moyens déployés justifiés habilement par le covid (https://youtu.be/Ae3ZdpBS-co), nous portons aujourd’hui au débat par quatre textes la question d’une éventuelle guerre civile française à l’occasion de la sortie du livre de Franck Buleux chez Dualpha, La guerre sociale qui vient en course ce dernier jour pour le Prix des lecteurs de Présent (appuyer cette démarche de vérité en choisissant cet essai : https://present.fr/votez/).ML.

L’évolution des Gilets jaunes l’a clairement démontré : Trotski a détrôné Poujade. Alors que le début de la mobilisation antifiscale, en novembre 2018, avait laissé prétendre à une mobilisation populaire sur le consentement à l’impôt, thème principal des premiers manifestants, la suite a vu sortir des égouts et des caves, des groupes anarcho-communistes, héritiers d’Action directe et les communautés trotskystes toujours dans l’attente du Grand soir. Ces groupes, connus et actifs parfois qualifiés de « Blacks Blocs », sont issus, le plus souvent, d’une bourgeoisie « voulant guider le peuple ». Lors des manifestations, sur le terrain, ils excluent les militants classés à droite. Qui n’a pas entendu : « Celui-là, il a manifesté lors de La Manif pour tous ! », il est donc persona non grata.

Les Gilets jaunes sont devenus, au fil du temps, faute d’une incarnation nationale et populaire, un groupe d’extrême gauche rendant tout débat impossible et politisant toute revendication. Ce spontanéisme révolutionnaire se manifeste hebdomadairement malgré les règles liées à la crise sanitaire. Pas plus de trente à l’office religieux mais des hordes déferlantes dans les rues de nos centres urbains commerçants, cassant, détruisant, méprisant, excluant… paraît autorisé.

Nourris par une idéologie issue des périodes de terreur (à la française ou à la soviétique), ces groupes prospèrent grâce à une doxa dominante, celle de la rupture avec nos valeurs les plus élémentaires, les plus traditionnelles.

C’est cela que j’ai voulu dénoncer, en remontant largement avant les Gilets jaunes, en publiant La Guerre sociale qui vient, aux éditions Dualpha, voici quelques mois.

Mais dénoncer n’est pas mon seul but. Il faut aussi proposer : développer le renseignement intérieur et décrédibiliser les thèses portées par ce magma protéiforme dont le but suprême est la destruction de ce qui existe. Pour faire quoi ? L’ordre ne succède pas toujours au chaos, prenons-y garde !

La Guerre civile qui vient est, évidemment, d’abord un constat. Ce constat, auquel il serait bon d’apporter un remède, est actuellement dans le trio de tête des ouvrages qui concourent au prix 2021 de la presse libre, organisé notamment par le quotidien national Présent.

Alors, merci d’appuyer cette démarche de vérité en choisissant cet essai : https://present.fr/votez/