ASSASSINS IMPORTES ET ÉNARQUES MOLLASSONS

par Bernard PLOUVIER

L’actualité – la vraie, pas celle facticement produite par les individus des media vendus aux puissances d’argent – prouve surabondamment que la terreur en France est organisée par les tueurs, les violeurs, les pillards, les vandales et les incendiaires de l’immigration africaine et mahométane

Si les policiers, de loin en loin, lorsqu’ils sont épuisés à force de verbaliser les automobilistes qui dépassent d’1km/h la vitesse maximale autorisée, s’en prennent à un Africain ou à un immigré du Moyen-Orient, c’est tout simplement parce que l’énorme masse des délinquants, trafiquants et criminels à motivations pseudo-religieuses sont issus de l’immigration africaine ou mahométane.

L’un des grands triomphes de l’intelligence est de miser sur l’inertie et la stupidité de ses ennemis. En l’occurrence, depuis la présidence de l’obsédé sexuel Giscard, les voyous de la politique ont misé sur la mollesse des « veaux français » (soit une première expression gaullienne)

Fête de l’Aid dans une prison française

La Loi Veil sur l’avortement de complaisance – ensuite remboursé intégralement par la Sécurité sociale – fut accouplée au décret de regroupement familial pour les travailleurs immigrés… et bientôt l’on importa des masses énormes d’extra-Européens, peu ou pas du tout qualifiés pour le travail en zone civilisée, puis l’on osa importer des immigrés parasitaires : des « réfugiés »- consommateurs qui ne travaillent pas. Et nul ne demanda son avis au bon peuple des contribuables qui – par les impôts et les taxes – finance l’invasion de son territoire.

Les adeptes de la non-violence ont toujours existé. Mais le pacifisme devient une arme redoutable, lorsqu’il est manipulé par d’habiles propagandistes ayant pour but de désarmer des populations entières de mollassons, de « chevaliers du renoncement national » (soit une autre expression gaullienne), pour que de grands prédateurs de la production délocalisée et de la distribution de masse s’assurent de très confortables revenus.

Les maîtres de la globalo-mondialisation se sont associés aux piranhas islamiques pour dominer l’Occident aveuli. L’année 1945 signifia, en Occident, la fin de l’idéal du sacrifice de l’individu au bénéfice de sa communauté. Et la haine juive envers les Européens, qui n’en finit pas d’éclater en sanglots, imprécations et revendications pécuniaires, se trompe de cible : à favoriser l’importation massive de jeunes mahométans, les Juifs d’Occident se condamnent à un nouvel Exode ou au massacre.

De nos jours, il est banal d’écrire cette ânerie historique : « Dans la société humaine, pour des raisons morales évidentes, on ne saurait sacrifier l’individu au groupe » (on la doit à Jacques Ruffié, dans le premier volume de son livre à thèse : De la biologie à la culture, publié en 1983 et dont le bon titre eût été : « Le culte de l’individu »). Cette évidence morale n’existe, en notre époque, que pour l’Occident effectivement émasculé, où triomphent le féminisme le plus grossier et l’hédonisme des mâles qui dégénère en consumérisme effréné.

Mammon (et la Grande Bouffe) sont vénérés et non plus Mars. Il en va autrement en terres d’Islam. Toute société qui refuse l’éthique du sacrifice individuel en faveur de la collectivité est vouée à l’esclavage, voire à l’extinction. Les guerres voient disparaître une élite du caractère, réalisant une sélection sociale à rebours. De ce fait, l’eugénisme véritable devrait avoir pour but de sélectionner les reproducteurs honnêtes et de caractère bien trempé, davantage que les êtres supérieurement intelligents, inutiles à une société s’ils sont des pervers et des canailles d’affaires.

La guérilla civile est la forme la plus subtile de guerre larvée, volontiers méconnue des contemporains eux-mêmes, car elle n’est coûteuse qu’au goutte-à-goutte, peu d’individus étant occis à la fois.

Notre phase d’aveulissement et d’amollissement en Occident est, au sens strict, un état de pourrissement.

En face, même si ses causes publiquement affichées sont d’ordres politique ou religieux, tout se résume à une volonté prédatrice : on n’entre pas en guerre, ouverte ou larvée, là où il n’y a rien à gagner. L’Europe occidentale est un lieu de guérilla depuis les années 1980. La cause évidente en est l’immigration islamique.

Très schématiquement, mais de façon assez juste, l’on peut différencier nos actuels ennemis en deux groupes, aussi impitoyables les uns que les autres : les fanatiques, prêts à mourir prématurément pour la cause qu’ils considèrent comme sacrée, et les sociopathes – trafiquants et tueurs de rencontre -, qui sont de purs sadiques, d’authentiques déchets moraux, nullement prêts à se sacrifier pour quoi que ce soit.

En Allemagne, en Suisse, en Scandinavie, 90% des détenus de droit commun sont des immigrés issus d’Afrique, du Moyen ou du Proche-Orients, notamment de Turquie. En France, pour les années 2010-2012, l’on dénombrait une moyenne de 13 000 vols par jour, de 2000 agressions physiques quotidiennes, dont 10% de viols (in Laurent Obertone : La France, orange mécanique, 2013) : l’immense majorité des agresseurs étaient des jeunes, de 15-30 ans, issus de l’immigration extra-européenne… on n’a pas vraiment l’impression que la majorité des voyous se soit modifiée dans sa composition.

Comme l’a justement écrit, en 1916, Jacques Bainville : « La guerre montre les peuples tels qu’ils sont. Elle met leurs forces en valeur et ne fait grâce d’aucune de leurs faiblesses » (in La guerre et l’Italie). C’est vrai des guerres civiles comme des guerres internationales.

C’est également vérifié dans la puissance de réaction d’une race, lorsqu’elle est confrontée à l’immigration-invasion de son continent par des allogènes violents, indisciplinés, criminels, ce qui réalise une forme hautement pernicieuse de guerre non-déclarée, de ce fait, d’autant plus dangereuse

Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique. On n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte. Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt ; la stagnation n’est que le début de la fin.

« La civilisation est fidèlement alliée à la guerre…Civilisation et lutte, c’est tout un » écrivait Anatole Thibault dans « France », avant 1917 ; ensuite, il devint pacifiste et compagnon de route du communisme… et à sa mort, en 1924, on constata une ahurissante atrophie de son cerveau !