FAUT-IL RENDRE OBLIGATOIRE LA LECTURE DU CORAN ?

par Bernard PLOUVIER

L’An 2020 passera dans les chroniques pour l’année de la folie de gouvernants paniqués créant une crise économique et financière majeure en raison d’une énième pandémie virale – pourtant assez peu meurtrière, si on la compare à diverses autres pandémies.

Et comme le très arrogant gouvernement chinois est à la fois très riche et très susceptible, on « oubliera » vite l’origine chinoise de la pandémie et du conseil, qui ressemblait fort à une injonction, donné aux pseudo-experts et vrais politiciens de l’Organisation Mondiale de la Santé portant sur un confinement généralisé.

L’année 2020 sera surtout celle de la grande dinguerie occidentale, où d’innombrables crétins blancs auront demandé pardon parce que les forces de police ont agi contre des voyous de race noire ou encore pour avoir civilisé, du XVe au XXe siècles, des continents arriérés.

Or depuis le début de l’ère mondialiste, l’Occident s’est laissé envahir par des hordes de « réfugiés » – politiques, économiques ou victimes présumées de règlements de comptes inter-ethniques d’Afrique et du Moyen-Orient -, introduisant ainsi des dizaines de millions de mahométans, dont beaucoup sont des intégristes, c’est-à-dire des individus tellement convaincus de l’excellence de leur brouet religieux qu’ils veulent l’imposer à tous.

Et l’on redécouvre une notion évidente, que tous les gens honnêtes et savants répètent depuis des siècles – mais ils restent minoritaires à toute époque et en tout pays – : l’islam est une religion dont le dogme impose la conquête pour convertir de gré ou de force l’ensemble de l’humanité.

Depuis un demi-siècle, il ne se passe pas d’année sans qu’un pays d’Europe ou une ambassade des USA ne soient les victimes d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes. Les djihadistes du XXIe siècle ont pris le relais des tueurs au service de la cause palestinienne des années 1970-90.

Et l’on n’évoque même pas les viols de « petits culs blancs » – triste expression, hélas quotidiennement entendue dans les cités françaises et belges à fort taux d’immigration africaine, noire et maghrébine -, ces viols qui, par leur fréquence, sont devenus un phénomène permanent de nos sociétés occidentales, avec pour but de « repeupler » l’Occident par la semence des « guerriers d’Allah » !

L’ambiance de nos sociétés occidentales est pourrie par les vols et les pillages, le vandalisme et les incendies « festifs », les trafics de stupéfiants – qui sont « indispensables » nous assure-t-on au standing de vie des dizaines de milliers de familles d’immigrés –, enfin par les émeutes urbaines qui font la joie des journalistes, à défaut de faire celle des honnêtes citoyens productifs… de moins en moins protégés par la mafia politicienne, qui bride les forces de police.

Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, l’Europe de l’Ouest et du Nord a recueilli un nombre effarant de sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux. Tandis que de très nombreux partis politiques recevaient une manne issue des milliardaires mahométans, roitelets de l’islamo-pétrodollar, du trafic de Haschisch, des trafics d’armes et de la prostitution organisée… après tout, en France on a transformé en ministresse de la Justice une sœur de trafiquant de drogue et fait un ministre de l’Intérieur avec un joueur professionnel de poker !

À l’occasion de chaque attentat djihadiste, l’on exhibe devant micros et caméras quelques pitres, venus proclamer que « l’islam est une religion de paix ». Du mahométan de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles qui ont osé s’exprimer sont ainsi venus proférer un énorme mensonge… et l’on comprend le silence embarrassé d’une foule de mahométans « qui n’ont pas voulu s’exprimer » (selon la phrase rituelle des journalistes) : ceux-là connaissent leur Coran !

En effet, la lecture du Coran, censé avoir été dicté par l’ange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament une « indignation » de commande, du moins si on lit le texte dans la traduction de Kasimirski, revue par Mohammed Arkoun, qui est la plus répandue en Europe francophone… l’arabe n’est guère une langue utile à l’Européen, du moins pour l’instant : elle sera imposée à l’ensemble de la population de France occupée, quand le pays sera régi par la charî’a (la loi coranique).

Pour qui a quelque peu fréquenté ce livre et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim(fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre). À l’exception des pays majoritairement mahométans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd, comme l’on veut.

Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les membres de tous les peuples seront des fidèles de l’islam. C’est le fondement de cette religion.

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Les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère – il a quatre épouses s’il le souhaite, en plus de ses esclaves (in sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque… rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois ces menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

D’autres sourates sont déjà plus gênantes pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4), sauf si on le ou la convertit. Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). Enfin, la femme doit être totalement soumise à l’homme (sourates 4, 33) et l’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent). Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

Selon divers imams, ulémas et autre mollahs (chiites, ceux-là) qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte – à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales – que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de mahométans apostats et d’autres infidèles d’ailleurs, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal : la tête de la victime est tournée vers La Mecque et l’égorgeur récite des « paroles pieuses ».

Par définition, le djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : «  Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste (tout est possible !), le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combat jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

L’infidèle qui s’oppose au djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, « le Coran est devenu une arme de destruction massive ».

Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés et publiquement méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette « mansuétude » sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

Il existe de par le monde, en 2020, 1,6 milliard de mahométans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France en renferme davantage que les quatre États mahométans d’Europe danubienne cités antérieurement.

Ce ne sont pas les discours pleurnicheurs des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous d’allah dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit n’empêchent les émeutes.

Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles, de la Oumma – la communauté des mahométans.

Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées, celles de gendarmerie et de police renferment entre 15 et 20 % de mahométans selon les armes et les régions.

En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection.

Pour ceux qui seraient tentés d’aller explorer le sujet, on peut signaler :

Le Coran, Garnier-Flammarion, 1970

A. Bauer, C. Soullez : Violences et insécurité urbaines, PUF, 2010

H. Corbin : En Islam iranien, Gallimard, 1978

É. Darhel : D’une colonisation l’autre. Vers la guerre civile, L’Æncre, 2011

B. Davidson : Africa in History, Collier Books, New York, 1974

A. Fattal : Le statut légal des non musulmans en pays d’islam, Institut Catholique de Beyrouth, 1958 (disponible dans les bibliothèques des Universités catholiques de France et de Belgique)

G. Faye : Avant-guerre. Chronique d’un cataclysme annoncé, L’Æncre, 2002

H. de Fersan : Le racisme anti-français, L’Æncre, 1997

D. Filkins : La guerre sans fin, Albin Michel, 2008

J.J. Matringhem, P. Randa et Coll. : Vers la société multiraciste, Dualpha, 2002

J. Minces : La femme voilée. L’Islam au féminin, Hachette, 1992

N. Multeau : L’Islam chez lui chez nous, L’Æncre, 2012

J. P. Peroncel-Hugoz : Le radeau de Mahomet, Éditions Lieu Commun, 1983

M. Sakhri : Les démons de la foi, Dualpha, 2007

H. al-Tourabi : Islam, avenir du monde, Jean-Claude Lattès, 1997 (un livre hallucinant de haine et de fanatisme)

I. Warraq : Pourquoi je ne suis pas musulman, L’Âge d’Homme, Lausanne, 1999

M. Wieviorka et Coll. : Violences en France, Seuil, 1999