LA DURETÉ NÉCESSAIRE

par Bernard PLOUVIER

Depuis le milieu des années 2010, les nouveaux fous d’Allah, les fanatiques djihadistes de « l’islam radical » (si tant est que ces deux mots ne forment pas un pléonasme) se sont lancés dans une nouvelle forme de terrorisme.

Par l’utilisation de moyens inédits et très spectaculaires – tueries de masse et décapitations filmées, enfants et femmes kamikazes, vandalisme architectural, maniement en virtuose de tous les moyens de communication, en plus des classiques poignards ou de leur version moderne, le couteau en céramique, et l’inusable kalachnikov -, ils ont créé l’enthousiasme meurtrier des moins accessibles au raisonnement : les jeunes gens à la fois obsessionnels, incultes et mal insérés dans la société.

Confrontés à l’irruption de la violence, parfaitement incontrôlable par les moyens classiques, les gouvernements occidentaux réagissent de la pire façon qui soit. On prône le « dialogue interculturel », on prononce moult discours en invoquant les fausses pucelles « démocratie et liberté », on espère même une « rééducation de déviants mal informés », au nom d’un humanisme que l’on saluerait volontiers d’utopique si la tournure des événements ne forçait à le qualifier de grotesque, tant il est inadapté à la situation.

Face au terrorisme aveugle (c’est-à-dire non ciblé), face à la pure haine religieuse et raciale, ce n’est pas de paroles qu’ont besoin les peuples autochtones d’Europe occidentale. Ce n’est même pas du renforcement des polices, de la gendarmerie ou de l’armée (où l’on a accepté un nombre ahurissant de mahométans et d’extra-européens), dont la nation a besoin, puisque leur inefficacité n’est que trop évidente.

Car, le résultat de l’immigration-invasion en Occident, ce sont les cités de non-droit et les émeutes raciales, en France, en Belgique, en Grande-Bretagne aussi bien qu’aux USA – le pays des responsables premiers de ce gâchis, qu’en d’autres temps des individus mal embouchés eussent appelé « un merdier ».

Les populations ont besoin d’être protégées par de très puissantes branches action des services secrets. Tout activiste présumé doit être suivi quelques jours pour repérer d’éventuels contacts, puis il doit être arrêté, interrogé sans ménagement, enfin discrètement éliminé. Car il est absurde de croire récupérable un idéaliste qui a fait, avant même de passer à l’action violente, le sacrifice de sa vie, dans l’espoir de gagner sa place au mythique paradis du dieu que son cerveau a imaginé ou qu’il s’est laissé imposer par l’effet d’un bourrage de crânes.

Pour obtenir ce résultat de Salut Public, il faut répudier, aussi longtemps que nécessaire – soit jusqu’à l’éradication de l’hydre terroriste -, la notion, si délicate à manier en temps de péril grave, des droits de la défense des individus. Seul compte, en ces temps de guérilla religieuse et de haine raciale anti-Blancs, la protection de la majorité honnête et laborieuse des populations. C’est le fondement même du pacte social.

On ne doit plus voir décapité au couteau à céramique ou poignardé un honnête citoyen, du seul fait qu’il est blanc ou non mahométan. On ne doit plus voir exploser, au sein d’une foule, une voiture piégée ni un kamikaze dément. On ne doit plus assister à l’attaque aux armes automatiques, aux roquettes et aux mortiers, de commissariats et de gendarmeries. L’action des « forces de l’Ordre » (le terme de « faibles » serait plus adapté à la triste réalité française) doit être préventive, menée rudement et secrètement, soit à l’abri de l’hystérie médiatique et de la démagogie politicienne.

À l’évidence, sauf pour les aveugles et les sourds, la doctrine du « Vivre ensemble » n’est que l’expression d’une nouvelle collaboration avec des envahisseurs qui sont très vite devenus des occupants utilisant l’arme de la terreur, à des fins de conquête territoriale et d’asservissement de la nation d’accueil.

Si les maîtres de l’État ne sont pas capables de protéger les honnêtes citoyens, alors il incombe à la fraction la moins timorée, la plus active de la Nation d’organiser elle-même sa défense.

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Le plus de la rédaction :

En mars, la garde des Sceaux Nicole Belloubet avait annoncé aux organisations syndicales du ministère de la Justice qu’elle visait la libération de 5.000 détenus, afin de désengorger les prisons en cas de propagation du virus. D’après plusieurs sources au sein des services de renseignements cités par Le Point, 130 détenus condamnés dans des dossiers terroristes ont été ou sont en passe d’être libérés à quelques mois ou quelques semaines de la fin de leur peine, dans cette optique de désengorgement des prisons. « Chaque semaine, ils sortent par trois ou quatre », d’après le renseignement français, chiffre néanmoins contesté par le ministère de l’Intérieur. « Les condamnés pour des faits de terrorisme stricto sensu sont hors champ des mesures de libération en relation avec le contexte sanitaire lié au coronavirus. Il ne faut pas confondre terroristes et détenus radicalisés », fait-on valoir place Beauvau.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/terroriste-presume-de-romans-les-messages-injurieux-qui-sement-l-emoi-au-barreau-de-valence-10-04-2020-8297628.php