DE LA NÉCESSITE D’EN REVENIR A LA DÉMOCRATIE

par Bernard PLOUVIER

Depuis 2015, des mahométans tuent du Blanc en série, dans tous les pays d’Europe occidentale. Un Allemand tue une dizaine de Kurdes, si utilement importés en Allemagne, et toute la presse globalo-mondialiste retentit de cris et de vagissements.

Soyons sérieux ! Tous les assassinats doivent être traités de la même façon par les clowns des media et de la politique. Surtout, il faut réfléchir à la cause profonde des crimes racistes. Tout le monde raisonnable en est d’accord : la situation en France (et aux ex-colonies devenues Dom-Tom) est explosive. Il en va de même partout en Europe occidentale et scandinave.

L’existence de zones de non-droit, l’explosion des actes de violence physique sont infiniment plus graves que les « incivilités » et les cambriolages que les journalistes ont l’ordre de mettre en avant, de façon à ce que l’arbuste délictueux cache la forêt des crimes. On parle des vols à la tire et du racket, pour camoufler les viols et les assassinats. On évoque les « incivilités » pour masquer le racisme effarant des extra-Européens envahissant notre continent.

Comment s’étonner qu’à ce racisme inutilement importé réponde un contre-racisme ? Quel que soit l’avis de « juges » vautrés devant le veau d’or, une immigration à coup de million d’hommes, cela s’appelle une invasion et l’agression d’un continent par les originaires d’autres continents a toujours généré une réaction explosive. Toute société multiraciale est multiraciste ; on le sait depuis fort longtemps et les exemples des USA, du Mexique, du Brésil ou d’Israël nous le rappellent de façon quasi-quotidienne.

Certes, la situation est explosive, mais vouloir faire semblant de résoudre l’immense problème lié à l’immigration-invasion de masse avec les petits moyens déjà essayés sans le moindre succès, c’est à la fois se moquer du bon peuple, celui des contribuables, et faire preuve d’absence de sens moral. On n’éteint pas un incendie avec une cuillere à café d’eau, fût-elle sucrée.

Si l’on prenait l’avis des Européens de souche, on obtiendrait des résultats qui ne pourraient que terroriser nos vrais maîtres : rétablissement de la peine de mort pour les assassins, castration des violeurs, tir à balles réelles en cas d’émeute ou d’agression des forces de l’ordre, refus d’accueillir le moindre « réfugié-immigré » d’origine extra-européenne et retour massif au continent d’origine des sans-travail, délinquants, mahométans faisant dans l’import-export du Djihâd.

Le problème de l’immigration de masse ne peut être résolu que par le retour à la Démocratie. Son fondement est la souveraineté de la Nation. Pour le problème gigantesque de l’immigration-invasion qui engage l’avenir de l’ensemble des nations européennes, ce n’est pas l’avis de la grosse chancelière d’Outre-Rhin qui compte, pas plus que celui du Président-Dictateur Général de France, le Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron, qui tous ont favorisé l’immigration de masse.

Seul importe l’avis de la Nation, consultée par referendum. Si les français, les Belges, les Néerlandais, les Allemands, les Scandinaves et autres Italiens veulent recevoir encore et encore du million d’immigrés d’origine extra-européenne, ils seront libres de le faire, après s’être exprimés clairement sur le sujet.

Si, au contraire, les Européens consultés de façon démocratique ne veulent plus des envahisseurs, alors il faudra débuter une politique de re-migration, de retour aux continents d’origine… et disparaîtront les attentats djihadistes (surtout si les tueurs sont assurés de représailles gigantesques sur leurs familles et leurs coreligionnaires) et disparaîtront aussi les manifestations de racisme.

Nos donneurs de leçons devraient se taire et méditer : lorsqu’on est à la tête d’un État, le premier devoir est d’y assurer l’Ordre, ce qui commence par la sécurité des nationaux et ensuite celle de leurs biens et de leur héritage culturel.