par Michel LHOMME
The People vs Muhammad, datant déjà de 2015, toujours non traduit en France – quel éditeur courageux le fera ? – est un livre studieux et référencé. Dans l’ouvrage, l’auteur de best-seller, JK Sheindlin analyse psychologiquement pour la première fois le père fondateur de l’Islam. En effet, Mahomet n’était-il pas fou lui-aussi ? Ne souffrait-il pas comme ses disciples d’aujourd’hui de graves troubles psychiatriques, ce qu’on nous serine systématiquement les médias français après les attaques de plus en plus régulières de mécréants au couteau ? (https://www.lefigaro.fr/vox/societe/celine-pina-lorsque-l-on-tue-au-nom-d-allah-l-excuse-du-desequilibre-mental-ne-tient-pas-20200106 )L’Islam serait-il donc une religion pour cinglés ? Mahomet était-il le vrai et dernier prophète de Dieu? Le Coran est-il l’accomplissement de la Bible et perpétue-t-il légitimement les traditions des écritures judéo-chrétiennes? The People vs Muhammad accuse preuves à l’appui le père fondateur de l’islam de crimes contre l’humanité et conteste son autorité autoproclamée. Ce livre enquête sur la véritable idéologie de l’Islam, pour déterminer avec raison et logique la légitimité de la revendication de Mahomet et des enseignements fondamentaux de son culte. Tout au long de cette série, l’auteur analyse soigneusement le Coran et les textes islamiques de manière juridique pour exposer la vérité choquante relative à Mahomet: pédophilie, crimes d’honneur, esclavage sexuel, prostitution, racisme, extorsion, meurtre, endoctrinement psychologique, terrorisme intellectuel, censure, grand larcin, racket, violence domestique, inégalité entre les sexes, et bien plus encore! Le premier chapitre plonge profondément dans le passé de Mahomet et découvre des faits troublants qui s’avèrent à l’origine de ses multiples troubles psychopathologiques. En utilisant entièrement les sources islamiques en référence aux archives psychiatriques et médicales contemporaines, JK Sheindlin détaille le vaste catalogue de maladies mentales du prophète qui comprend: psychopathie, gynophobie, « complexe de Napoléon », schizophrénie, trouble de la personnalité narcissique, complexe Messie-Dieu, trouble obsessionnel compulsif, athazagorophobie, complexe d’Œdipe, dépendance au sexe, pédophilie et nécrophilie. En outre, l’auteur émet également l’hypothèse d’un argument convaincant basé sur la science médicale, qui démystifie la première révélation du prophète. Ces facteurs externes sont: l’inhalation de gaz volcaniques, la privation sensorielle, la famine, la déshydratation, les lésions cérébrales et la syphilis. Écrit pour provoquer une réponse rationnelle de la part des lecteurs musulmans et occidentaux, le livre est interdit de vente en Egypte, dans tous les pays du Golfe. En France, on ne le traduit pas et du coup, on n’en parle pas.
Pour les lecteurs français, on se reportera alors sur l’enquête suivante :

C’est d’ailleurs ce que constate Jacqueline Chabbi, professeur à l’université Paris VIII et auteur d’une biographie peu condescendante de Mahomet, Le Seigneur des tribus. L’Islam de Mahomet (Noesis,1997) l’absence d’exégèse critique de l’Islam. Rappelons que Mahomet (570-632) n’a laissé aucune trace écrite directe, ni archéologique, de son passage sur Terre. Et si la tradition musulmane postérieure au Coran représente le fondateur de l’Islam dictant ses révélations à un scribe sur des « morceaux de cuir, des tessons de poterie, des nervures de palmes et des omoplates de chameau », aucun de ses contemporains n’a concrètement transmis son témoignage. Le Prophète vivait dans une société de tradition orale et il paraît maintenant vain d’espérer exhumer un jour des tablettes comme celles qui florissaient, à l’époque, dans le proche Empire byzantin ou de vieux parchemins comme les manuscrits de la Mer Morte. La première biographie de Mahomet, la Sîra, a été rédigée plus d’un siècle après sa mort. Comme le soutient Jacqueline Chabbi: « Ce n’est qu’avec l’empire des Omeyyades (661-750) que la religion de Mahomet a basculé dans un autre monde dans lequel l’écriture est devenue prédominante. Le Coran a alors été mis par écrit, certainement à partir de fragments d’oralité conservés dans les mémoires. Dans les siècles suivants, la tradition islamique a couvert d’un luxe de détails les origines de l’islam et reconstitué un passé … fictif ! ».
D’ailleurs, pour la naissance de l’Islam, nous renvoyons à deux petits livres décapants publié chez L’Harmattan : -Georges Collombat, Enquête sur la naissance de l’Islam, Paris 2015 et surtout de Michel Benoit, Naissance du Coran, aux origines de la violence, Paris 2014.
Enfin pour Mahomet et les femmes, au livre de Houria Abdelouahed, Les femmes du prophète qui effectivement n’a pas beaucoup plus aux musulmans de France par sa franchise et son réquisitoire implacable et féministe contre le prophète.